De retour à Londres après avoir passé les fêtes de fin d’année passées à Nice, Mathilde Cappelaere se confie à Gala.fr sur son parcours, ses deux sociétés et son histoire d’amour avec Dylan Deschamps.
Plus que la « copine de qui est le fils de », à seulement 24 ans, Mathilde Cappelaere gère ses deux entreprises depuis Londres où elle vit avec son compagnon Dylan Deschamps. Alors que son beau-père Didier Deschamps vient de renouveler son contrat en équipe de France, elle se confie à Gala.fr sur sa carrière, son envie de fonder une famille et de se marier en Italie, « la romance ultime ».
GALA.fr : Comment allez-vous ?
Mathilde Cappelaere : J’ai passé de bonnes fêtes. J’étais de retour à Nice, d’où je suis originaire, mais l’année dernière, j’ai déménagé à Londres pour rejoindre mon copain. J’ai pu en profiter pour passer du temps avec ma famille et mes amis.
GALA.fr : À seulement 24 ans, vous avez déjà deux sociétés…
Mathilde Cappelaere : Avec ma sœur, on a monté une conciergerie privée en plein Covid, ce qui peut paraître un peu fou. Nos parents nous ont transmis le goût du voyage. Quand on partage sur les réseaux sociaux des photos des endroits où l’on va, ça suscitait un intérêt. Organiser un voyage demande du temps. Au début, on le faisait gratuitement pour nos proches, puis pour des amis d’amis et on a fini par se dire qu’il y avait quelque chose à faire et l’idée nous est venue d’en faire notre business et d’organiser des voyages dans le monde entier.
GALA.fr : Vous avez toujours baigné dans le luxe ?
Mathilde Cappelaere : Non, je dirai que ça a évolué. Quand on était plus petites, pas forcément. Nos parents travaillaient beaucoup et ils avaient peu de vacances par an. Quand on partait dix ou quinze jours, ils se faisaient plaisir. On allait dans des endroits luxueux, mais pas forcément tout le temps. On est privilégiés, on a eu cette chance. Mais on se rappelle d’où l’on vient.
GALA.fr : Vous avez également fait de l’humanitaire. Cette expérience vous a marqué ?
Mathilde Cappelaere : Quand j’étais au lycée à Nice, j’ai pu partir à Rio, au Brésil, avec des professeurs et des élèves. J’étais dans des conditions totalement différentes des voyages que j’avais pu faire avant. On dormait dans une auberge de jeunesse et tous les jours, on allait voir des enfants dans des orphelinats. On a leur amené des valises avec des vêtements, des jouets… pour faire plaisir à des enfants qui n’ont rien. Et on leur a remis un chèque. C’est un voyage qui m’a beaucoup touchée et j’aimerais le refaire quand j’aurai plus de temps. Pourquoi pas au Kenya avec mon copain…
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GALA.fr : En parlant de votre compagnon Dylan Deschamps, vous avez assisté ensemble au Mondial de football au Qatar. Est-ce que l’engouement que vous avez suscité vous a surpris ?
Mathilde Cappelaere : Ça m’a beaucoup touchée, j’ai reçu des mots gentils. Ça m’a aussi flattée parce que je ne suis personne. Je suis la « copine de » qui est « le fils de ». Je suis plutôt surprise, touchée et ravie, ça fait toujours plaisir.
GALA.fr : Comment a commencé votre histoire d’amour ?
Mathilde Cappelaere : Pour la petite histoire, on se croisait à des soirées d’amis en commun. Il m’a ajoutée sur les réseaux sociaux, mais sans arrière-pensée. Je ne savais pas qui il était et je n’étais pas intéressée puisque j’étais en couple. Quand mon copain m’a quittée, j’ai appris que Dylan avait des vues sur moi. On a commencé à se parler naturellement sur Instagram alors qu’on ne s’était jamais vraiment parlé.
GALA.fr : Vous souvenez-vous de votre premier rendez-vous ?
Mathilde Cappelaere : À l’été d’entre mes deux classes d’années préparatoires, il m’a proposé de le rejoindre au Monte Carlo Beach, à Monaco. J’étais un peu stressée et nerveuse comme pour un premier rendez-vous. D’autant plus que sur place il s’est avéré qu’il y avait ses parents avec un couple d’amis.
GALA.fr : Comment s’est passée la rencontre avec vos beaux-parents ?
Mathilde Cappelaere : Pour être très honnête, je ne m’y connaissais vraiment pas en foot (rires). Je n’ai pas baigné dans cet univers puisque le peu de fois où mon père regardait la télé, c’était des films ou le golf. Je savais que c’était un ancien joueur, mais pas sa carrière. Mes copines et mon beau-frère m’ont réveillée. J’étais un peu gênée, même si la première fois, j’ai passé la journée à apprendre à connaître Dylan. Mais Didier Deschamps est quelqu’un de très simple, il a été très gentil avec moi. Il m’a mise à l’aise.
GALA.fr : C’est allé vite entre vous ?
Mathilde Cappelaere : Après ce premier rendez-vous, il y a eu un bisou. On a continué à se parler, sans trop pouvoir se voir puisque j’étais en prépa à Cannes et il était à l’EDHEC à Nice. Mais j’ai fini par lui demander ce qu’il voulait. Il m’a fait comprendre que je lui plaisais.
GALA.fr : Vous avez du caractère…
Mathilde Cappelaere : J’ai été plus dure avec Dylan qu’avec les autres garçons, de part son exposition. Six mois plus tard, je suis partie à Dubaï avec lui et ses parents. On s’est encore plus rapprochés. J’ai appris à connaître ses parents. On s’est tous adorés. Comme on est très famille, on a présenté nos parents qui se sont liés d’amitiés. Les parents de Dylan ont un cercle fermé parce que quand on s’appelle Didier Deschamps, on ne peut pas faire confiance à n’importe qui. C’est mignon qu’ils se soient rapprochés de mes parents. Ça leur arrive de se voir sans nous.
Je voulais être certaine de ses sentiments envers moi avant d’en parler.
GALA.fr : D’ailleurs, il vous est arrivé de parler sur les réseaux sociaux de vos envies de mariage et de fonder une famille avec Dylan Deschamps…
Mathilde Cappelaere : On habite ensemble à Londres, où Dylan travaille dans la finance. Je lui ai déjà demandé s’il se voyait faire sa vie avec moi étant donné que j’ai quitté ma famille et mes amis pour le rejoindre. Il est touché par cela. Il m’a déjà dit que j’étais la femme de sa vie, ce qui est rassurant. On a envie de se marier, mais c’est une question d’âge et aussi d’argent. Alors, on prend notre temps. Pour les enfants, on sait qu’on en aura plus tard. Il est fils unique, il n’en veut qu’un. Moi, j’ai une sœur, j’en veux deux. On verra, on n’est pas pressés. On a nos carrières et on a déjà un petit chien, Simba (rires).
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GALA.fr : Vous avez déjà pensé au jour J ?
Mathilde Cappelaere : Mon rêve, c’est de le faire au Lac de Côme. Ce serait la romance ultime. Je n’y suis jamais allée, mais j’en rêve. J’ai déjà dit à Dylan que ce serait là-bas et il est d’accord.
On adore l’Italie, on a fait tous nos voyages là-bas.
GALA.fr : Vos vies sont bien loin du foot…
Mathilde Cappelaere : Dylan joue au foot pour le plaisir, il joue beaucoup au padel avec son père et ses amis. Il aimait bien le foot quand il était petit, mais il m’a toujours dit : « Vu ce qu’a fait mon père, je ne pourrai jamais faire mieux, alors autant essayer de faire aussi bien dans un autre domaine ».
GALA.fr : Vous évoluez également dans le monde du bien-être et notamment de la lithothérapie…
Mathilde Cappelaere : Quand mon grand-père a été mis dans le coma pendant trois mois à cause du Covid, je me suis réfugiée dans la lithothérapie. J’étais allée voir quelqu’un qui m’a rassurée et m’a conseillée. Je ne force personne à y croire, mais je crois aux énergies. C’est de là qu’est née la marque Etincel Collection. Avec ma sœur, on propose des bougies et des gourdes avec des pierres.
GALA.fr : Vous êtes aux antipodes de l’image que l’on pourrait avoir de vous via les réseaux sociaux.
Mathilde Cappelaere : Avec Instagram, on partage ce qu’on a envie de partager. J’aime partager de belles choses, quand je sors, comme beaucoup de gens, on peut se dire que tout est facile, que tout m’a été donné, que je suis superficielle… Ce n’est pas vrai.
Crédits photos : Instagram / Mathilde Cappelaere
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