Pour la deuxième édition du Tour de France Femmes, le journaliste tout-terrain de la chaîne rejoint l’équipe de commentateurs.
France Dimanche : Il y a deux semaines, vous avez participé à l’Étape du cœur au profit de Mécénat chirurgie cardiaque. En quoi cela consiste ?
Nelson Monfort : Cela fait une dizaine de fois que j’ai la chance de participer à cet événement caritatif. Cette association mène différentes actions, comme cette course amicale à vélo entre célébrités durant le Tour de France, afin de venir en aide à des enfants originaires de pays défavorisés et atteints de malformations cardiaques. Ils sont pris en charge par des familles d’accueil en France le temps de la guérison…
FD : Que pouvez-vous faire de plus pour cette association ?
En mars dernier, j’ai également présidé la sixième Soirée du cœur, à la salle Gaveau (Paris), dont les bénéfices auront permis d’opérer pas moins de quatre enfants ! Je participe en outre à leur compétition de golf caritative annuelle. Vous pouvez voir que cette association me tient vraiment à cœur !
FD : Vous ne faites donc pas que commenter le sport, vous le pratiquez aussi beaucoup…
Sans être un champion, j’essaie de pratiquer aussi bien la course à pied, la natation, le ski, le patinage que le… vélo ! C’est d’ailleurs autour de cette activité que les téléspectateurs vont me découvrir puisque je fais partie cette année de l’équipe de commentateurs du Tour de France femmes, sur France 2. Je serai un peu le Franck Ferrand, ou encore le Jean-Paul Ollivier de cette épreuve ! Il paraît d’ailleurs qu’à son départ, Jean-Paul souhaitait que ce soit moi qui prenne le relais pour parler de notre patrimoine à l’antenne…
“Cette association me tient… à cœur !”
FD : Avez-vous une autre actualité à mettre en avant ?
Je serai présent, pour France Télévisions, fin août à Budapest, aux Championnats du monde d’athlétisme. Puis le patinage va reprendre. Et bien sûr les Jeux olympiques.
FD : Et en dehors du sport ?
Je prépare une pièce de théâtre dans laquelle je jouerai avec Philippe Candeloro. Il s’agit d’une fiction dans le monde du patinage. Contrairement à moi, ce sera la première fois qu’il jouera la comédie. Autant dire que nous avons le trac. Si tout va bien, nous commençons dès cet automne dans plusieurs villes de France.
FD : Le 12 mars dernier, vous avez passé le cap des 70 ans. Les avez-vous fêtés comme il se doit ?
Il paraît que je ne les fais pas. On me dit souvent que je fais 69 et demi ! [Rires.] Je n’ai pas l’impression de les avoir, parce que j’ai la chance de pouvoir toujours travailler. Ce jour-là, j’étais accompagné de mes proches, de ma petite-fille Nala, âgée d’un an et demi. C’est elle qui me permet aussi de rester jeune dans ma tête !
Propos recueillis par Philippe CALLEWAERT
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