Saviez-vous que Julie de Bona était "extrêmement timide" étant plus jeune ? L’actrice de 41 ans s’est confiée au "Journal des Femmes" sur cette peur qui la paralysait…
"J'étais extrêmement timide"
"Quand j'avais 7 ans, j'étais extrêmement timide, je ne savais pas m'affirmer au point qu'il était impossible de me faire sortir un mot (rires)", assuré l'actrice de 41 ans. C'est en se souvenant de cette période peu facile à vivre que Julie de Bona a pu apporter davantage de nuances à son personnage dans Le Souffle du Dragon. "Finalement, je me suis aidée de mon enfance pour transposer à l'écran l'évolution de Sandrine. Je pouvais totalement m'identifier à cette femme, totalement impressionnée face à ses pairs qui ont énormément de caractère. Le fait d'avoir du mal à dire non, de ne pas savoir exactement ce que l'on ressent, ce sont des choses qui me parlent", nous avait-elle également raconté.
Julie de Bona, "bloquée" au théâtre
Une timidité qui lui vient probablement de son éducation ambivalente. "J'avais d'un côté un papa expansif, charmeur, plein de chaleur humaine et de sensualité, et de l'autre une maman pétrie de culture asiatique très discrète, pudique, réservée à l'extrême qui ne montrait jamais ses sentiments", avait-elle précisé dans une interview à Paris Capitale. A cause de sa réserve, sa première expérience au théâtre a été quelque peu ardue : "Comme à l'âge de sept ans, personne ne pouvait m'approcher, maman m'a inscrite à un cours de théâtre. Le jour du spectacle de fin d'année, j'étais tellement bloquée qu'aucun son n'est sorti de ma bouche ! Je trouvais la démarche impudique".
Julie de Bona veut "aller plus loin dans le côté psychopathe"
Désormais, Julie de Bona n'a plus peur de s'affirmer et repousse constamment ses limites. Alors qu'elle a joué dans la récente série de M6, La Maison d'en Face, la comédienne serait totalement partante pour rempiler pour une nouvelle saison… à une seule condition. "Que mon personnage devienne complètement folle", nous a-t-elle confié, avant de préciser : "J'ai envie d'aller plus loin dans le côté "psychopathe" et même créer une sorte de monstre". Julie de Bona a assurément parcouru un sacré bout de chemin…
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