“Ils avaient une totale confiance en Nordahl Lelandais” : ce surnom affectueux donné par ses proches

Ce lundi 31 janvier, Nordahl Lelandais comparaît devant la cour d’assises de l’Isère pour le meurtre aggravé de la petite Maëlys. Dans ses colonnes, Le Parisien évoque la personnalité insoupçonnée de l’homme surnommé « Tonton Nono », par ses proches.

Une apparence trompeuse. Ce lundi 31 janvier, Nordahl Lelandais comparaît devant la cour d’assises de l’Isère pour l’assassinat de la petite Maëlys. Jugé pour meurtre aggravé et agressions sexuelles sur mineurs, l’ancien maître-chien est parvenu à dissimuler sa véritable nature, dévoile Le Parisien dans ses colonnes. Pendant plusieurs années, son « apparence lisse » a convaincu tout son entourage qui le surnommait alors, « Tonton Nono ». Toutefois, perçu comme « protecteur avec les enfants », le criminel de 38 ans a parfaitement dissimulé « son attirance sexuelle pour les mineurs », révèlent nos confrères. Lors du mariage, peu de temps avant sa disparition, la petite Maëlys l’aurait elle aussi appelé tonton selon un proche de la famille.

Pourtant, les experts ont fait de redoutables découvertes durant l’enquête du meurtre de la jeune fille de 8 ans : « Parmi des fichiers de nature pédopornographiques supprimés de son téléphone et de son disque dur, les enquêteurs découvraient deux vidéos d’attouchements sexuels, commis et filmés au cours de l’été 2017 sur de très petites filles qui s’avéreront être ses cousines, âgées de 4 et 6 ans », lit-on. Parties civiles de ce procès et représentés par Maitre Caroline Rémond, les parents des victimes n’ont jamais perçu le moindre danger : « Ils avaient une totale confiance en lui, leur plus proche cousin et ami depuis trente ans ».

Nordahl Lelandais : ses proches n’ont rien vu venir

S’il encourt la réclusion à perpétuité, l’ancien maître-chien comparaît notamment pour l’agression sexuelle d’une adolescente de 14 ans. Là encore, ses proches assurent n’avoir jamais remarqué d’anormal dans le comportement de Nordahl Lelandais : « L’un des couples l’avait choisi comme parrain. Ils n’ont jamais vu aucun signe pouvant alerter de ces côtés manipulateur et prédateur sexuel aujourd’hui manifeste à leurs yeux », dévoilent nos confrères.

Crédits photos : capture d’écran

Autour de

Source: Lire L’Article Complet