Le quotidien The Sunday Express a ressorti ce week-end quelques extraits de la biographie d’Angela Levin, Harry : Conversations avec le prince, sortie en 2018. Au programme, un strip-tease improvisé par le prince Harry pour les 50 ans du prince Charles.
On le sait, le prince Harry n’a pas toujours été l’homme sérieux et rangé que l’on connaît aujourd’hui. Bagarres nocturnes, farces à l’attention de ses professeurs, coupe de «skinhead», déguisement de nazi, partie de poker déshabilleur à Las Vegas… Le fils de Lady Diana et du prince Charles s’est adonné à de nombreuses frasques à l’adolescence. Dans sa biographie Harry : Conversations avec le prince, parue en 2018, la journaliste anglaise experte en têtes couronnées, Angela Levin, s’est entre autres replongée dans cette époque – pas si lointaine – où le duc de Sussex était encore un mauvais garçon. The Express a republié quelques extraits salés dans son édition du week-end.
« Il a couru nu devant les invités »
On apprend par exemple qu’à la fin du mois de juillet 1998, soit un an après la disparition de Lady Diana, le prince William et le prince Harry ont organisé une fête surprise au prince Charles afin de célébrer son 50e anniversaire. Pour l’occasion, les deux frères auraient voulu reproduire la fameuse scène de strip-tease du film The Full Monty, sorti en 1997. «Harry, alors âgé de 14 ans, était tellement ivre qu’il ne s’est pas contenté d’enlever quelques vêtements comme cela était prévu, écrit Angela Levin dans son livre, mais s’est complètement déshabillé et a couru tout nu devant les invités.» Citant quelques témoins de la scène, elle ajoute que le prince Charles en aurait été «visiblement choqué» et serait «devenu tout rouge» avant de se reprendre et de lâcher à ses invités qu’il s’agissait seulement «d’une incartade d’adolescent».
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« J’ai choisi d’être un mauvais garçon »
Pourquoi de tels débordements ? Il aurait simplement suivi les conseils de sa mère, d’après l’auteure, qui se remémore une vieille conversation avec le prince Harry : «Il m’avait dit, en souriant, qu’il avait choisi d’être un « mauvais garçon »», ajoutant que sa mère l’avait clairement encouragé dans cette voie.
Angela Levin est également revenue sur la coupe de cheveux «skinhead» que le prince Harry avait discrètement affiché en 1998. «Buckingham a dû demander à ce que les photographies ne soient pas utilisées dans la presse afin d’éviter que ces images de lui en délinquant ne circulent», écrit-elle. Bref, rien que quelques (mé)faits de plus dans le dossier «bad boy» du prince Harry.
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