Ici tout commence : Catherine Marchal épingle les « comportements déplacés » de certains acteurs

L’actrice du feuilleton Ici tout commence, qui a déjà derrière elle une carrière bien remplie, s’étonne dans les pages de Gala, en kiosques ce jeudi 26 août, de certaines manières de ses partenaires dans la série, notamment chez les acteurs les plus jeunes.

La sagesse d’une actrice qui connaît bien le métier. Dans un entretien à Gala, Catherine Marchal regrette l’attitude qu’elle peut observer chez certains de ses camarades de jeu, sur le tournage de la série de TF1, Ici tout commence. En se gardant toutefois de donner des leçons, elle s’interroge sur la manière d’appréhender leur toute nouvelle célébrité : « Certains des jeunes acteurs sont rattrapés par la gloire. Je vois des comportements déplacés. » Sans donner le détail de ces « comportements« , l’actrice déroule son inquiétude : « Ils devraient être alertés par le fait que leurs fans les appellent par les prénoms de leurs personnages et non par le leur. Ce n’est pas le comédien qui est populaire mais le personnage. »

Mais l’interprète de Claire Guinot se veut compréhensive : « Pour rester indulgente, j’essaie toujours de me demander comment j’aurais pris une telle popularité à leur âge. » Et de ces jeunes acteurs, elle a aussi de belles choses à dire, car ils ne sont pas en reste de talent : elle avoue même avoir une légère inclination pour deux de ses jeunes partenaires de jeu, Julie Sassoust et Khaled Alouach, qu’elle trouve « très justes« . Des interprètes d’Anaïs et Théo, elle va même jusqu’à dire qu’ils « peuvent exploser« .

Choc des générations

À 54 ans, l’actrice admet qu’il peut y avoir un certain choc des générations au sein de l’équipe des comédiens, qui est réunie pour le bien du tournage dans le petit village gardois de Saint-Laurent-d’Aigouze. Et sur place, l’actrice a su recréer une tribu, amicale cette fois, loin de Paris, et de ses quatre enfants.

Cette famille de travail, elle l’a fondée autour de Frédéric Diefenthal, Elsa Lunghini, ou Agustín Galiana, qu’elle retrouve régulièrement dans un des deux cafés du village. Ils n’étaient pas pour elle des inconnus, loin de là, elle confie même : « Quand on nous a proposé les rôles, on s’est tout de suite appelés pour savoir si on les prenait« . S’apprécier, ou aussi savoir rappeler ses membres à l’ordre, le fonctionnement d’une famille comme les autres, après tout.

« L’interview intégrale de Catherine Marchal est à retrouver dans le nouveau numéro de Gala, en kiosque le jeudi 26 août. »

Crédits photos : AGENCE / BESTIMAGE

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