Jeudi 21 octobre 2021, les enquêteurs travaillant sur l’affaire du meurtre de Gabby Petito ont révélé avoir retrouvé des restes humains appartenant à Brian Laundrie, comme le rapporte La Dépêche. Le petit-ami de la jeune femme était sous mandat d’arrêt depuis le 24 septembre.
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Après avoir été portée disparue, le 1er septembre 2021, Gabby Petito a été retrouvée morte le 20 septembre, dans le parc national Grand Teton à Moosey, situé dans l’Etat du Wyoming. Son cadavre se trouvait à côté de celui d’un homme, lui aussi porté disparu au Texas. En juillet 2021, Gabby Petito était partie avec son compagnon, Brian Laundrie, en road trip à travers les Etats-Unis. Un voyage dont ce dernier est rentré seul.
Quelques jours après être revenu chez ses parents, Brian Laundrie était à son tour porté disparu, le 8 septembre 2021. Rapidement, le jeune homme a été placé sous mandat d’arrêt pour fraude à la carte bancaire, comme l’avait affirmé le FBI de Denver sur Twitter. Il a en effet utilisé la carte de Gabby Petito après sa mort. Mercredi 13 octobre 2021, le médecin légiste chargé de l’autopsie de Gabby Petito, Dr Brent Blue, a pu faire la lumière sur les circonstances dans lesquelles la jeune femme est morte. Gabby Petito a été assassinée par strangulation, comme l’ont relaté nos confrères du Parisien.
Les restes de Brian Laundrie retrouvés
Mercredi 20 octobre 2021, des effets personnels appartenant à Brian Laundrie ont été retrouvées dans un parc, selon les informations du FBI de Tampa relayées sur Twitter. Des restes humains se trouvaient à proximité de ces affaires, ont révélé nos confrères de NBC News, le même jour. Après des heures d’analyse, les enquêteurs de la police scientifique ont pu confirmer que les restes humains retrouvés sont ceux de Brian Laundrie. « Une comparaison des données dentaires a confirmé que les restes humains découverts » appartenaient au jeune homme. S’il a été si compliqué de déterminer s’il s’agissait de Brian Laundrie, c’est parce que la zone dans laquelle se trouvait le cadavre est un marais rempli de reptiles. « C’est un travail dangereux pour les équipes de recherche qui avancent à travers des marais infestés d’alligators et de serpents« , ont rapporté jeudi 21 octobre 2021, nos confrères de La Dépêche.
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