Florent Pagny : ses confidences émouvantes sur cette période passée en foyer d'accueil

Samedi 23 octobre 2021 sur les ondes d’Europe 1, Florent Pagny s’est confié sur ses années de galère avant de croiser la route du succès. Le juré de The Voice a évoqué cette période où un foyer d’accueil lui a ouvert ses portes alors qu’il n’avait presque rien.

  • Florent Pagny

Un parcours qui n’a pas toujours été rose… Alors qu’il officie chaque samedi sur TF1 dans le fauteuil rouge de The Voice All Stars, Florent Pagny a fait un petit détour dans les studios d’Europe 1 samedi 23 octobre 2021 dans l’émission Il n’y a pas qu’une vie dans la vie. L’interprète de Savoir aimer, qui s’apprête à passer la barre symbolique des 60 ans, a évoqué sa tournée, qui commencera le 9 novembre, ses enfants Inca et Aël, mais aussi ses années de galère… Et pour cause, avant de devenir l’homme aux 15 millions d’albums vendus, Florent Pagny a enchaîné les petits boulots et a bien eu du mal à s’assurer chaque soir un toit au-dessus de la tête. À l’époque, le jeune chanteur frappe à la porte de l’Armée du salut. Une expérience qu’il a partagée avec Isabelle Morizet, non sans émotion.

« Mon premier foyer d’accueil, ça a été l’Armée du salut »

Interrogé sur ses débuts laborieux à la Capitale, le mari d’Azucena Caamaño s’est souvenu du jour où il s’est rendu à l’Armée du salut pour demander de l’aide : « Ils peuvent permettre à des gens qui n’ont pas de moyens, comme nous, de pouvoir quand même être avec un hébergement, un toit, et avoir un petit self organisé aux moindres frais. Finalement, mon premier foyer d’accueil, ça a été l’Armée du salut à Ménilmontant », explique-t-il. Mais l’argent lui manque. Florent Pagny décide alors d’enchaîner les petits boulots tout en feuilletant les annonces de casting…

« J’ai commencé à travailler à 16 ans. Et après je me suis toujours débrouillé. J’ai commencé comme commis dans un restaurant, puis j’ai fait un peu courtier de pub, j’ai appris à prendre un téléphone et à être un peu plus vendeur », a-t-il confié. Une période difficile qui le conduisait, sans le savoir, sur la route du succès : « Puis un jour, je me suis même retrouvé barman dans une boîte et j’ai rencontré Dominique Besnehard ». L’agent d’acteurs le plus respecté du pays voit en lui une future star et lui offre son premier rôle dans le film de Jean-Jacques Beineix, Diva, en 1981. La première page d’un destin hors du commun…

Source: Lire L’Article Complet