Dans Les Grosses Têtes, le 5 janvier, Laurent Ruquier a subtilement critiqué la stratégie de programmation du groupe France Télévision, qui pourrait profiter à l’émission Quelle époque, présentée par son ancienne acolyte, Léa Salamé.
Jeudi 5 janvier, lors de l’émission des Grosses Têtes, diffusée sur RTL, Laurent Ruquier a évoqué la diffusion de l’opéra Faust, ce samedi 7 janvier dès minuit quinze, sur France 3. L’occasion pour l’animateur télé et radio de 59 ans de tacler cette programmation qu’il juge vraisemblablement stratégique de la part de groupe France Télévision. « Faut bien faire monter l’audience de Léa Salamé sur France 2 », a-t-il lâché, critique, en évoquant ainsi l’émission Quelle époque, présentée en même temps par sa consœur et qui remplace On est en direct, son ancien programme.
Laurent Ruquier a tenu à souligner que « c’est l’opéra le plus célèbre » qui a été choisi pour remplir cette case du week-end au soir. « Mais pourquoi ils s’obstinent à mettre de l’opéra ? Les gens n’en veulent pas », a estimé l’un de ses chroniqueurs. L’animateur radio a ensuite souligné « qu’avant, il n’y en avait pas » à cet horaire sur la Trois et que c’était des « téléfilms » qui étaient diffusés. Ce n’est pas la première fois que la star des Grosses Têtes critique subtilement Léa Salamé, qui a repris les rênes de son émission. Avec une certaine ironie, dans les colonnes de TV Magazine en novembre dernier, Laurent Ruquier expliquait que, « comme [il n’est] plus à l’antenne le samedi soir, [il] en profite pour regarder l’opéra sur France 3 ».
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Une façon radicale d’éviter les critiques
Il indiquait également qu’il « préfér[ait] » ne pas regarder sa consœur à l’écran, car il savait qu’il ne réussirait pas à « être objectif » sur son travail. À la même période, cette fois dans les colonnes de Voici, l’animateur radio précisait qu’il ne « boycotte pas » la journaliste qui le remplace, mais qu’il évite de visionner l’émission Quelle époque pour ne pas être tenté de « dire des vacheries » sur elle, chose qu’il « n’a pas envie de faire ».
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE
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De Raphaël Glucksmann à Nicolas Demorand : ces hommes qui ont marqué la vie de Léa Salamé
C’est le 14 novembre 2015, sur le plateau d’On n’est pas couché,que la journaliste rencontre l’homme de sa vie, Raphaël Glucksmann. L’essayiste a enterré son père, André Glucksmann, la veille. Si leurs premiers échanges ne laissent pas spécialement présager une histoire d’amour, une complicité naît pourtant ce soir-là. Début 2016, le député européen et essayiste et la chroniqueuse se mettent en couple. Six mois plus tard, elle tombe enceinte et en mars 2017, le tandem accueille Gabriel.
Ghassan Salamé naît en 1951 au Liban. Il étudie à l’université Saint-Joseph de Beyrouth. Il continue ses études à Paris, où il étudie le droit international public. Docteur en littérature et en sciences politiques, il est d’abord professeur en relations internationales à Beyrouth et fait partie de plusieurs grandes instances. Il enseigne aussi à Paris, à l’Institut d’études politiques, à partir de 1987, et est directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Côté politique, Ghassan Salamé est aussi conseiller spécial de Kofi Annan pendant son mandat à la tête de l’Organisation des Nations Unies et fut ministre de la Culture du Liban entre 2000 et 2003, dans le gouvernement de Rafiq Hariri.
Représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies pour la Libye de 2017 à 2020, Ghassan Salamé participe à la Conférence internationale sur la Libye au palais de l’Élysée à Paris, le 29 mai 2018.
Ghassan Salamé et sa fille ont toujours été proches. Née en 1979, elle est sa fille aînée.
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