Maxime Chattam a fait un passage dans "Clique" ce jeudi 9 novembre 2023. Lors de sa venue dans l’émission, le compagnon de Faustine Bollaert a indiqué que sa santé mentale inquiétait parfois ses proches. Notamment à cause de ses habitudes pour écrire.
Pour réussir à écrire, il faut se mettre dans les bonnes conditions. Et ce ne sont sans doute pas Albert Camus, Gustave Flaubert, ou encore Honoré de Balzac qui diraient le contraire s’ils en avaient la possibilité. Mais même les écrivains d’aujourd’hui peuvent le confirmer. D’ailleurs, Maxime Chattam l’a confirmé lors de son passage dans Cliquece jeudi 9 novembre 2023.
Le compagnon de Faustine Bollaert a été interrogé par Pauline Clavière, remplaçante de Mouloud Achour, sur ses rituels pour écrire ses romans. « Il y a pas mal de rumeurs qui courent autour de votre façon d’écrire, pour vous plonger dans votre univers, assez cringe. Il y a tout un tas de choses, pourquoi il faut vous mettre dans une ambiance particulière ? », a demandé la journaliste à l’auteur âgé de 47 ans.
A voir également : Sous-marin introuvable près de l’épave du Titanic : Faustine Bollaert, qui connaît l’un des membres de l’équipe, prend la parole
Le bureau de Maxime Chattam inquiète ses proches
« En fait, ça vient en partie du bureau que j’ai », a confirmé Maxime Chattam avant de préciser : « Je me suis fait un bureau au fil des décennies où il y a des objets très étranges. Qui est une espèce de grand musée, un peu cabinet des curiosités fin 19e. Il y a du bois, des lumières partout Il y a une momie égyptienne, un loup-garou empaillé de deux mètres de haut. Il y a des objets du monde entier, de toutes les époques, et dans ce contexte-là, j’aime écrire ».
Le compagnon de Faustine Bollaert confie toutefois qu’il n’a pas besoin de « ça »pour écrire. Ce bureau spécial fait simplement office « d’accélérateur ». Il conditionne également son cerveau avec de l’encens afin de sentir une odeur précise et permettre à son cerveau de se mettre « dans sa bulle ». « Si je dois écrire au fin fond d’une chambre d’hôtel en Pologne, ça m’est arrivé, je le fais mais c’est plus lent et compliqué », a-t-il admis. Le compagnon de Faustine Bollaert reconnaît que ces petits rituels suscitent l’interrogation de son entourage : « Donc oui, il y a ce bureau et je me suis amusé parfois à mettre des photos d’objets, et les gens étaient un peu soit fascinés, soit inquiets pour ma santé mentale ». Mais l’auteur l’assure, tout va bien de ce côté.
Source: Lire L’Article Complet