Faustine Bollaert ne s’attendait certainement pas à provoquer une telle polémique avec sa nouvelle photo Instagram. Pourtant, bien malgré elle, les internautes n’ont pas hésité à faire savoir leur colère en commentaires.
Le selfie qui ne passe pas ! Habituée à partager son quotidien et ses bons moments avec ses abonnés, Faustine Bollaert se faisait une joie de partager sa nouvelle trouvaille avec eux : son bracelet « My Move », création de son amie Valérie Messika. Mais voilà, l’effet escompté n’était finalement pas le bon.
C’est sur son compte Instagram, ce mardi 11 mai que la présentatrice de France 2 a partagé LA photo du débat. Tout sourire aux côtés de son amie, Faustine Bollaert a voulu promouvoir la marque et les créations de Valérie Messika, auprès des internautes. Un placement de produit très mal perçu par ses derniers, entraînant immédiatement une véritable polémique dans les commentaires. La raison ? Le prix du bijou.
Sur le site de la créatrice, le bracelet de la photo est au prix de 990 euros… un prix hors normes pour les fans de l’animatrice qui n’ont pas hésité à lui faire remarquer « Décidément, il faut avoir un salaire mirobolant pour pouvoir se faire plaisir ! », « Magnifique oui, mais seulement pour une sélection de personnes au vu des prix, souvent plus cher qu’un Smic ! ». Une création vendue près de 1000 euros, parmi d’autres bijoux, eux, entre 890 euros et 30 000 euros, une aberration pour ces derniers.
Mais également double peine pour Faustine Bollaert ce 11 mai, puisqu’en plus de voir les internautes fâchés par le prix du bracelet, d’autres n’ont pas hésité à remettre l’animatrice à sa place concernant les placements de produits… « Oh non maintenant elle aussi elle se met au placement de produit ! », « Je vous apprécie beaucoup Faustine cependant vous décevez avec vos placements de produits ». Déçus par la situation, l’animatrice doit désormais se rattraper auprès des internautes. Et ça ne devrait plus tarder !
https://www.instagram.com/p/COvAC3PHiBx/
Une publication partagée par Faustine Bollaert (@faustinebollaert)
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La rédaction
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