Ce lundi 11 septembre, actualité tragique oblige, Cyril Hanouna a décidé de bouleverser le conducteur de son émission »Touche pas à mon poste » afin de proposer une émission entièrement dédiée au séisme qui a frappé le peuple marocain, et qui a déjà tué plus de 2000 personnes.
Les déprogrammations s’enchaînent. Alors que M6 a choisi de se passer de son concours Le Meilleur Pâtissier ce mercredi 13 septembre pour diffuser un concert caritatif pour le peuple marocain, TF1 a proposé ce dimanche une édition rallongée de son 13h, avec Anne-Claire Coudray et Gilles Bouleau. Dans ce dernier, les deux journalistes ont pu recevoir le témoignage de Jamel Debbouze, qui a annoncé partir »dès ce soir » au Maroc pour venir porter secours à sa famille et à ses amis, ainsi qu’aux Marocains sinistrés.
Selon les informations de Public.fr, ce lundi 11 septembre, Cyril Hanouna va bousculer la programmation habituelle de Touche pas à mon poste afin de proposer une édition spéciale de son émission exclusivement dédiée au peuple marocain. Les équipes éditoriales sont d’ores et déjà à pied d’œuvre afin d’organiser cette édition spéciale. L’animateur de C8 espère convaincre un ministre de venir sur son plateau. On peut imaginer l’appel en FaceTime avec Ayem Nour, son ancienne chroniqueuse qui vit à Marrakech depuis plusieurs mois, en raison du litige qui l’oppose à son ex-mari milliardaire Vincent Miclet, concernant la garde de leur garçon Ayvin.
Quelques nouveaux chroniqueurs ont fait leurs preuves
Depuis ce lundi 3 septembre 2023, Cyril Hanouna a fait sa rentrée dans Touche pas à mon poste. Pour l’heure, sur les 17 nouveaux chroniqueurs annoncés, seuls quelques-uns ont été testés par l’animateur. Si Jacques Cardoze, Alex Goude, Pascale de la Tour du Pin et Moundir Zoughari semblent avoir fait leurs preuves, Marion Marimoutou est passée totalement inaperçue ce jeudi. De nombreux autres chroniqueurs restent à faire éclore dans les prochains jours, a l’instar d’Évelyne Thomas, de Ninon Dechavanne, de Polska, de Marine Reddan ou encore de Philippe Carayon.
La rédaction
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