Massimo Gargia se livre à coeur ouvert dans Gala, en kiosques ce jeudi 4 mai. Le jet-setteur italien revient pour nous sur ses souvenirs de jeunesse et ses multiples histoires passionnées. Sans filtre, l’octogénaire se confie même sur sa relation avec ses maîtresses.
Les confessions d’un homme libre. Ce jeudi 4 mai, Gala vous propose une plongée dans les souvenirs de Massimo Gargia. L’Italien de 82 ans a accepté de nous recevoir dans son appartement du 16e arrondissement parisien, pour revenir sans tabou sur une vie de plaisirs, de passions et de contradictions. Chez celui qui a révélé son homosexualité en 2014 dans un livre, des photos de Francine Crescent, sa défunte épouse décédée en 2008 et atteinte de la maladie d’Alzheimer, habillent les murs. Mais l’ex-rédactrice en chef de Vogue n’est pas la seule à trôner.
Non loin d’elle vivent aussi les souvenirs des illustres maîtresses du Napolitain, telles que l’actrice Greta Garbo ou l’écrivaine Françoise Sagan. “Certaines m’ont trop aimé, d’autres comme Garbo non, mais elle était fascinante, son snobisme consistait à ne reconnaître personne”, se souvient pour nous l’ami des stars. De l’auteure de Bonjour tristesse, Massimo Gargia semble être resté très admiratif. “C’était une intellectuelle qui méprisait Jackie Onassis, par exemple, elle la trouvait d’une stupidité abyssale”, s’est aussi remémoré l’ancien participant de La Ferme des Célébrités.
Massimo Gargia se souvient du soir où il a découvert son homosexualité
Dans nos colonnes, celui qui a dédié un livre à son épouse, “la femme de sa vie”, en 2008, s’est également épanché sur la révélation de son orientation sexuelle. “Jeune, j’étais homophobe, je chassais les gays la nuit dans les jardins de Naples”, a ainsi contextualisé Massimo Gargia. Une soirée a suffi à faire basculer les idées reçues de ce grand séducteur. Il “découvre [son] attirance pour un homme”, et sa vie s’en trouve chamboulée. “Pendant deux ou trois jours, je n’ai pas dormi tellement j’étais bouleversé, s’est-il souvenu. Et puis, j’ai vécu l’amour. J’aimais les machos”, a admis le retraité.
Retrouvez les confidences de Massimo Gargia dans le nouveau numéro de GALA, en kiosque ce jeudi 4 mai ou disponible en cliquant ici. Vous pouvez aussi recevoir GALA chez vous chaque jeudi en profitant d’une offre d’abonnement SANS ENGAGEMENT !
Crédits photos : CEDRIC PERRIN / BESTIMAGE
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