Emmanuel Macron : quelle est donc cette “punchline historique” qu’il devrait balancer à Marine Le Pen durant le débat de l’entre-deux-tours ?

Selon nos confrères de Libération, Emmanuel Macron préparerait, avec l’aide d’un "célèbre proche", une "punchline historique" à envoyer à Marine Le Pen pour le débat de l’entre-deux-tours.


Match retour. Cinq ans après, Marine Le Pen va tenter de prendre sa revanche sur Emmanuel Macron. Pour tenter d’arriver au pouvoir, dans un premier temps, mais aussi pour tenter de battre le président sortant durant le débat d’entre-deux-tours de ce mercredi 20 avril. Cela ne sera pas chose aisée et la candidate du Rassemblement National le sait bien. D’autant plus que le Chef de l’État préparerait minutieusement son débat.

Qui ne le ferait pas ? Toutefois, Emmanuel Macron aurait une botte secrète à en croire les informations de nos confrères de Libération. Une « technique secrète » qu’il a sans doute peaufinée après les révélations du Canard Enchaîné qui faisait savoir que Marine Le Pen aurait préparé deux punchlines à balancer à son adversaire durant le débat. « Vous êtes Emmanuel McKinsey, je suis Marine Le Peuple », devrait lâcher la candidate RN.

Une punchline travaillée par un « proche »

Alors pour faire face à cette attaque, le compagnon de Brigitte Macron aurait lui aussi travaillé son « texte » et des attaques. Ce serait un célèbre proche qui l’aiderait dans sa tactique. Un proche que tous les Français connaissent et qui ne cessent de faire le tour des plateaux télés depuis le lancement de la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron. A savoir : Gabriel Attal. Avec l’aide du porte-parole du gouvernement, le président sortant serait en train de chercher « la phrase qui restera dans l’histoire ».

Il va donc falloir suivre le débat entre les deux candidats ce mercredi soir pour savoir quelle sera la fameuse « phrase » tant recherchée que va lancer Emmanuel Macron. Depuis que le débat de l’entre-deux-tours existe, les téléspectateurs ont toujours pu assister à une déclaration historique. Il suffit de se rappeler du débat entre François Mitterrand et Jacques Chirac et le célèbre « Mais vous avez tout à faire raison Monsieur le Premier ministre » lâché par le premier. Cette « édition » ne devrait pas déroger à la règle.

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R.F

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