Emmanuel Macron : malaise à l'Élysée !

Alors que le couple présidentiel revenait d’Annecy, un autre drame s’est déroulé, en coulisses, ce vendredi 9 juin…

Au lendemain de la terrible attaque au couteau contre quatre enfants et deux adultes sur les bords du lac d’Annecy, le jeudi 8 juin, Emmanuel et Brigitte Macron se sont rendus au chevet de trois des victimes. Arrivé au CHU de Grenoble dans la matinée du vendredi 9 juin, le couple présidentiel a pu constater sur place une amélioration de l’état de santé des enfants touchés.

Prenant ensuite la direction de la préfecture d’Annecy, chef-lieu de la Haute-Savoie, Emmanuel Macron a tenu à saluer les forces de l’ordre ainsi que le fameux « héros au sac à dos », le dénommé Henri, 24 ans, qui s’est interposé entre l’assaillant et ses victimes.

Soutenu par des officiels

Ce jeune homme, un fervent catholique qui fait un tour de France des cathédrales, a demandé une faveur au président : assister à la réouverture de Notre-Dame de Paris, prévue le 8 décembre 2024. « Je m’en occupe personnellement », lui a répondu Emmanuel Macron.

Après cette matinée riche en émotions, le couple présidentiel a rallié Paris où le président de la République devait recevoir dans l’après-midi son homologue malgache, Andry Rajoelina. Une journée menée tambour battant par Emmanuel Macron qui, malgré son jeune âge (45 ans), avait toutes les raisons d’être éprouvé. D’autant que le soleil tapait fort en ce vendredi 9 juin, dans la capitale…

Ce n’est finalement pas lui qui a souffert des températures élevées mais… un jeune garde républicain ! Alors qu’Andry Rajoelina rejoignait Emmanuel Macron sur le perron de l’Élysée, un de ces fameux gendarmes spécialisés s’est écroulé, non loin des deux chefs d’État qui se saluaient. Engoncé dans son uniforme épais, transpirant sous son lourd casque doré, il a succombé à la chaleur avant d’être aussitôt soutenu par des officiels. Absorbé par le protocole, Emmanuel Macron ne se serait rendu compte de rien, une attitude qui a provoqué des réactions sur Internet.

Louis-Paul CLÉMENT

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