Rachida Dati, en campagne pour les élections municipales à Paris, n’est pas du genre à assumer ses faiblesses. En octobre dernier, l’ancienne garde des Sceaux a été victime d’un malaise qu’elle a réussi à camoufler.
Le 8 octobre, plusieurs élus avaient fait le déplacement jusqu’à la Préfecture de police de Paris pour rendre hommage aux quatre policiers poignardés par un agent administratif radicalisé le 3 octobre 2019. Rachida Dati apparaissait dans les premiers rangs. Ce jour-ci, la maire du VIIe arrondissement et maman d’une petite Zohra avait été victime d’un petit malaise comme le révèle Paris Match dans son édition du 30 janvier. Cependant, l’ancienne garde des Sceaux n’a pas voulu faiblir, comme toujours. Philippe Goujon, maire du XVe arrondissement de Paris, lui est venu en aide grâce à sa haute stature. Quelques instants plus tard, Rachida Dati a repris ses esprits, mine de rien. « Impeccable. Rachida Dati déteste flancher. D’ailleurs, elle ne flanche jamais », écrivent nos confrères.
Rachida Dati a toujours mis un point d’honneur à ne pas montrer ses faiblesses. Une combativité qu’elle travaillait à chacune de ses séances de boxe. Sport qu’elle aurait délaissé pour la musculation comme l’indique toujours Paris Match. « Rachida Dati ne s’entraîne plus sur le ring de La Salle Boxing Club de Paris des Batignolles. Dorénavant, elle pédale, cogne, hisse, s’épuise sur les machines de musculation », rapportaient nos confrères au sujet de la nouvelle routine sportive de celle qui s’entraîne chaque jour à 6 heures du matin.
Une force mentale qui lui vaut le surnom de « bulldozer » par son amie Anne Lauvergeon. « Elle a un sens aigu des rapports de force, il lui est indifférent de se heurter », constatait-elle par ailleurs.
Crédits photos : ALAIN GUIZARD / BESTIMAGE
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