Élisabeth Moreno : à quoi ressemble sa vie sentimentale ?

Élisabeth Moreno, dont Libération a fait le portrait jeudi 6 janvier, est une femme mariée et mère de deux enfants. Discrète, elle a pourtant révélé à nos confrères que l’homme qui partage sa vie n’était, de prime abord, pas favorable à son entrée en politique.

Élisabeth Moreno est devenue ministre déléguée auprès de Jean Castex, chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances en juillet 2020. Une première pour l’ancienne cheffe d’entreprise de 51 ans, qui n’avait jamais mis un pied en politique, et qui se voyait offrir un poste à hautes responsabilités. Pourtant, son mari a tenté de l’obliger à ne pas l’accepter, en vain. Jeudi 6 janvier, nos confrères de Libération ont consacré un portrait à la ministre, dans lequel on apprend que son époux aurait pu être un frein à l’évolution de sa carrière.

Enseignant de profession, ce dernier lui avait déconseillé d’entrer au Gouvernement, estimant que le milieu de la politique est « un monde très violent » qui ne lui conviendrait pas. Soucieux de son bien-être, il lui avait lancé : « Je te connais, tu es trop engagée, tu es trop sensible, les choses te tiennent trop à cœur, ils vont être durs avec toi. » Malgré tout, le choix d’Élisabeth Moreno était fait et rien ni personne ne pouvait l’empêcher d’aller dans la direction qu’elle comptait prendre. « Ce pays qui m’a tant donné m’offre l’opportunité de le servir et de défendre les causes que j’ai toujours prises à bras-le-corps, je m’en serais voulu toute ma vie de dire non », a-t-elle expliqué dans les colonnes de nos confrères, sûre d’elle et de ce qu’elle pouvait apporter à la France.

Une business woman qui gagnait très bien sa vie

Discrète sur sa vie privée, la ministre qui a succédé à Marlène Schiappa est, tout comme cette dernière, la maman de deux filles. Ses enfants sont le fruit de deux unions. Avant d’entrer au Gouvernement, Élisabeth Moreno était la directrice d’HP Afrique. Un statut professionnel qui lui permettait de jouir d’un salaire pour le moins confortable, à savoir près de 40 000 euros par mois. Business woman dans l’âme, la femme politique a commencé sa carrière en se lançant dans l’entreprenariat. En 1991, elle a créé sa toute première entreprise, dans le bâtiment. Elle a ensuite travaillé pour le géant de l’informatique Lenovo. De quoi prouver la polyvalence de celle qui s’occupe désormais des questions liées notamment aux violences faites aux femmes.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : Eric Tschaen / Pool / Bestimage

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