Donald et Melania Trump ont célébré Halloween lundi 28 octobre à la Maison Blanche. Sur Twitter, les internautes n’y vont pas de main morte pour fustiger le couple présidentiel américain.
En pleine procédure de destitution, Donald Trump n’est pas épargné par le peuple américain. Lundi 28 octobre, le POTUS et son épouse, Melania Trump, ont organisé une soirée Halloween, légèrement en avance sur le calendrier. Lors de cet événement placé sous le signe de l’horreur et retransmis en direct sur le compte Twitter de la Maison Blanche, le couple présidentiel a distribué des bonbons aux enfants déguisés, dans un décor de forêt hantée, devant la résidence officielle du président des États-Unis.
Sur la Toile, les internautes n’ont pas hésité à tacler l’homme politique et la Première dame. « Ces pauvres enfants. Ils voulaient voir un président », « Quelqu’un peut leur dire que ce n’est pas encore Halloween. Je ne sais pas ce qui est le pire – les magasins qui publient des trucs d’Halloween en plein été, ou les Trump qui distribuent des bonbons avant Halloween… », « Est-ce que les enfants le huent? », « J’admettrais qu’il s’est senti effrayant depuis qu’il est au pouvoir », « Enfin, une célébration pour laquelle ils sont dignes. Nos POTUS et FLOTUS sont la chose la plus effrayante que j’ai jamais vue »,lit-on parmi les commentaires des Twittos.
LIVE: POTUS & FLOTUS at Halloween at the White House! https://t.co/c7EftsFuW4
Si Donald Trump a toujours été un président controversé, les critiques vont bon train depuis que la procédure d’impeachment a été amorcée par la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi. Après avoir été violemmenttaclé de « gangster » et de « taré »par Robert de Niro, l’homme d’État a reçu un accueil glacial lors de son arrivée à la tribune présidentielle du National Parks de Washington, pour assister à la cinquième rencontre des World Series de baseball, opposant les Houston Astros et les Washington Nationals, dimanche 27 octobre dernier. Hué par la foule, Donald Trump a dû faire face à des mots particulièrement violents. « Lock him up ! » (« Enfermez-le ! »), ascandé le public. Une phrase que l’homme politique avait pris un malin plaisir à lancer à Hilary Clinton, lors de sa campagne présidentielle, sommant de mettre l’ancienne secrétaire d’État du pays accusée d’avoir utilisé un serveur de messagerie privé, derrière les barreaux.
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