Delphine Jubillar : la vérité derrière les 145 appels passés par la femme de son amant

Vendredi 10 décembre 2021, un article du Parisien a levé le voile sur les supposés « 145 appels » passés par la femme de l’amant de Delphine Jubillar la nuit de la fameuse disparition.

  • Delphine Jubillar

L’enquête sur la disparition de Delphine Jubillar se poursuit, mais toujours aucune trace de la jeune femme. Qu’a bien-t-il pu arriver à cette infirmière apparemment sans histoire dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020 à Cagnac-les-Mines ? C’est une question à laquelle les gendarmes tentent de répondre depuis plus d’un an. Et si Cédric Jubillar, l’époux de la disparue, a été mis en examen pour « homicide volontaire par conjoint », puis placé en détention provisoire à la prison de Seysses, pour le moment, sa culpabilité n’est pas certaine. La raison ? Aucun aveu n’a été fait par l’intéressé, et aucun corps n’a été trouvé. Un « coupable idéal », selon les dires de son avocat, qui reste, jusqu’à ce jour, présumé innocent.

Raison pour laquelle les enquêteurs n’hésitent pas à étudier plusieurs pistes, parmi lesquelles les agissements des connaissances de Delphine Jubillar durant les heures/jours précédents sa disparition. Le 3 décembre 2021, un article de la Dépêche faisait état de « 145 appels » passés par l’épouse de l’amant de Delphine, et ce « entre le 14 décembre 2020, minuit, et le 16 décembre à 14 heures ». D’après leurs dires, le destinataire de ces appels n’avait pas pu être identifié. Une information rectifiée vendredi 10 décembre 2021 par le Parisien.

L’épouse de l’amant de Delphine Jubillar a-t-elle réellement passé « 145 appels » ?

Finalement, ce ne sont pas des appels, mais bien « 145 consommations de données internet », comme indiqué par nos confrères, qui auraient été relevés sur les analyses téléphoniques de la femme trompée. Par « données internet », l’opérateur entend préciser toutes les actions nécessitant une connexion internet sur un mobile, telles que « consultation d’une boîte mail, visionnage d’une vidéo, envoi ou réception de messages écrits, conversations orales en passant par des messageries cryptées comme WhatsApp, Messenger ou Snapchat par exemple ». Toujours d’après Le Parisien, l’intéressée aurait, en réalité, échangé à huit reprises avec Delphine Jubillar, qu’elle connaissait déjà, la nuit de la fameuse disparition. Des informations essentielles et necéssaires à l’avancée de l’enquête.


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