Delphine Jubillar : la recherche de son corps mobilise un impressionnant dispositif

Ce 24 janvier, nos confrères de Sud Ouest sont revenus sur l’affaire autour de la disparition de Delphine Jubillar. L’occasion, pour ces derniers, de revenir sur le dispositif mis en place par les autorités.

En ce 24 janvier, les recherches se poursuivent à Cagnac-les-Mines (Tarn). Des recherches d’envergure puisqu’à en croire les propos rapportés par Sud Ouest, un grand dispositif va prochainement être mis en place par les autorités en vue de retrouver le corps de Delphine Jubillar, disparue dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020.

Pour le moment, rien de nouveau, c’est toujours le même périmètre et les mêmes moyens qui sont mis en œuvre”, rapporte une source proche de l’enquête au média. Un constat déroutant pour les autorités qui devrait s’arranger dans les jours à venir. Car toujours selon cette même source, près d’une “centaine” de gendarmes et de militaires spécialisés devraient rejoindre les équipes déjà présentes sur place. Un impressionnant dispositif qui compte “une unité Fouille opérationnelle spécialisée” ainsi que “des experts scientifiques de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale.”

Delphine Jubillar, lestée dans le Tarn ?

D’après les récents propos d’un riverain au Parisien, mercredi 19 janvier, le corps de l’infirmière ne serait pas enterré dans la fameuse ferme incendiée. Même si les confidences faites par Cédric Jubillar à l’un de ses codétenus rapportent que le corps de la a jeune femme serait situé non loin de son domicile, certains voisins s’interrogent encore sur le lieu où peut-être cachée la mère de famille. « Certains disent qu’elle est enterrée dans le coin, d’autres qu’elle est lestée dans le Tarn et qu’on ne la trouvera jamais”, rapportait alors le voisin au quotidien.

Seul problème, les confidences faites par Cédric Jubillar ont récemment été démenties. Comme l’a rapporté La Dépêche du Midi, le 20 janvier dernier, l’homme actuellement incarcéré à la maison d’arrêt de Seysses (Haute-Garonne) avait avoué dans un courrier avoir menti aux enquêteurs. « J’ai raconté n’importe quoi à n’importe qui. Maintenant plus de blablotage avec personne, je te le promets…”, avait-il écrit à son actuelle compagne. Et de poursuivre : “Marco fait partie des personnes qui m’ont b…, à tous les deux, avec de faux témoignages voilà pourquoi tu as été en garde à vue. On ne peut avoir confiance en personne.”

Crédits photos : Capture d’écran Facebook

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