À chaque prime de Danse avec les stars 10, Sami El Gueddari a impressionné les juges. Si le nageur handisport a réussi à faire oublier son handicap, c’est un peu grâce à Fauve Hautot, qui a tout fait pour s’adapter à lui.
Ensemble, ils forment le couple presque imbattable de la saison 10 de Danse avec les stars. Depuis le premier prime, Sami El Gueddari et Fauve Hautot ont caracolé en tête des classements, décrochant les meilleures notes des juges tout au long de la compétition. Un temps opposé à Clara Morgane, le champion est presque tranquille depuis l’étonnante élimination du mannequin. Samedi 23 novembre, le sportif affrontera en finale un opposant redoutable : Ladji Doucouré.
Dans sa lutte contre l’ancien spécialiste du 110 mètres haies, Sami El Gueddari peut compter sur Fauve Hautot. Après avoir préparé une chorégraphie très émouvante avec Pauline, l’anonyme fauchée par une voiture qui a perdu une jambe, la danseuse de l’émission s’est encore donnée à 100%. Cette semaine elle a envoyé un beau message à son partenaire, lui indiquant au passage avoir terminé « les créa de [leurs] dernières chorégraphies ». Si Fauve Hautot et Sami El Gueddari semblent en osmose quand ils dansent ensemble, ce n’est pas un hasard.
Interviewée par TV Grandes Chaînes, l’ancienne membre du jury du programme a expliqué qu’elle avait tout fait pour s’adapter au nageur handisport. Un handicap qu’elle a « très vite oublié » : « Je réfléchis autrement à mes chorégraphies, je décline des pas féminins au masculin. Pour les portés, c’est compliqué, car Sam n’a pas d’appuis suffisants, mais j’ai trouvé comment contourner ça. Sam a un mental de sportif, il ne dira jamais qu’il est fatigué ou qu’il a mal. Au final, comme il est né avec ce handicap, pour lui, c’est hyper naturel. Ça fait partie de lui ».
Remporter les 10 des juges, Fauve Hautot ne pourrait pas le faire sans un partenaire très impliqué : « Humainement, on s’entend très bien. Nous avons à peu près le même âge et partageons les mêmes valeurs. On est tous les deux très positifs, et on voit la vie de la même manière. Artistiquement, Sam est demandeur. Il n’a pas peur du ridicule. Bosser avec lui, c’est un bonheur ! » Un bonheur à retrouver une dernière fois samedi prochain.
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