Jeudi 19 décembre, le fils de Coluche était invité sur le plateau de C’est que de la télé pour faire la promotion de son nouveau livre. Et entre deux questions, Marius a expliqué pourquoi ça l’agace qu’on lui parle de son père.
Si Coluche est un personnage connu, son fils Marius, l’est beaucoup moins. Pourtant, l’homme est actuellement sur le devant de la scène puisqu’il sort un livre intitulé Rigolez-pas, c’est avec votre pognon !, recueil des pensées politiques de son père. A cette occasion, il était donc invité sur le plateau de C’est que de la télé jeudi 19 décembre. Carrière, vie de famille… Marius Colucci a évoqué bon nombre de sujets avec les chroniqueurs de l’émission mais est surtout revenu sur un sujet qui fâche : être le "fils de".
Lorsque la présentatrice de C’est que de la télé, Valérie Bénaïm, a donné la parole à sa chroniqueuse Caroline Ithurbide, cette dernière a déclaré : "J’ai lu dans une interview il y a quelques jours que ça vous "saoulait", ce sont vos mots, qu’on vous parle de Coluche et en même temps, vous sortez un recueil sur lui donc on est obligé de vous en parler." Il n’en fallait donc pas plus à Marius Colucci pour mettre les choses au claire. "Ça me fait chier quand moi je ne viens pas pour parler de Coluche et qu’on me parle systématiquement de Coluche." a-t-il confié. Puis, il a poursuivit : "C’est un peu compliqué d’exister derrière l’ombre de Coluche qui plane bien sur la France, mais évidemment quand je viens parler de Coluche, ça m’emmerde si vous parlez de mon tournage à moi."
"J’aime Coluche mais j’aime aussi un peu parler de moi"
En 2015, l’aîné des deux fils de Coluche s’était confié à son sujet. A nos confrères Gala, il avait fait de tendres confidences au sujet du défunt humoriste. "Les chats ne font pas des chiens, mais il serait ridicule de croire que je cherche à faire comme mon père. Ado, quand mon père me manquait, je regardais ses spectacles. C’est le bon côté de perdre un papa artiste, il laisse des traces." se souvenait Marius Colucci. "J’aime Coluche, mais j’aime aussi un peu parler de moi, et de mon travail." avait-il conclu.
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