Claire Keim : ce jour où elle s’est pris « une balle à blanc pas loin de l’oreille »

Interviewée par “Télé-Loisirs” ce mercredi 19 janvier, Claire Keim a évoqué ce mauvais souvenir qu’elle garde d’un tournage avec des armes à feu.

À l’image du tragique accident de tournage avec Alec Baldwin qui a causé la mort d’une femme en octobre 2021, Claire Keim garde elle aussi un mauvais souvenir des armes à feu. Comme elle l’a confié à Télé-Loisirs ce mercredi 19 janvier, l’actrice et chanteuse, prochainement à l’affiche du téléfilm Menace sur Kermadec diffusé le 4 février sur France 2, a mal vécu cet événement qui aurait pu mal se terminer. « Même si l’accident a eu lieu après le tournage, j’y pense tout le temps« , a-t-elle commencé. « Un jour, j’ai pris une balle à blanc pas loin de l’oreille qui m’a provoqué, depuis, des acouphènes. Je n’ai aucune passion pour les armes à feu« , a confessé l’actrice de 46 ans, qui a été victime d’une usurpation.

Claire Keim n’est d’ailleurs pas vraiment enchantée par l’idée que les civils soient armés. « Quand je lis que des gens passent leur permis de chasse pour en avoir une chez eux, ce n’est pas très rassurant« , a-t-elle raconté. Si la maman d’Uhaina a pu, au cours de sa carrière d’actrice, incarner des personnages usant d’armes à feu avec assurance, dans la vraie vie, ce n’est pas son cas. Les métiers de policière ou de gendarme ? Vraiment pas faits pour elle, a-t-elle assuré. « Il me manque le sang-froid et la distance« , a expliqué la chanteuse des Enfoirés.

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« Les conseillers que je rencontre sur les tournages – eux-mêmes des flics – forcent mon admiration »

La compagne de Bixente Lizarazu a fait part de son respect pour les forces de l’ordre. « Ces gens, habitués à gérer des drames inimaginables au quotidien, sont capables de se fabriquer une armure qui leur permet de rester des êtres humains quand ils sont avec leurs proches. Et surtout de ne pas péter un câble devant la cruauté des hommes« , a souligné Claire Keim, avant de conclure : « Tous les conseillers que je rencontre sur les tournages – eux-mêmes des flics – forcent mon admiration. J’ai envie de leur dire merci« .

Article écrit en collaboration avec 6Medias.

Crédits photos : JACOVIDES-MOREAU / BESTIMAGE

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