Charlotte Casiraghi a accordé cette semaine une rare interview à nos confrères de Libération.
Elle a prêté son image à des marques comme Cartier, Mont blanc, Gucci, Yves Saint Laurent et maintenant Chanel, et pourtant, Charlotte Casiraghi est bien plus qu’une image sur papier glacé. Dans les colonnes de Libération, ce mardi 6 avril, elle fait l’objet d’un portrait confidentiel, où elle accepte d’en dévoiler un peu plus sur elle.
Elle a fondé des évènements littéraires
Maman de deux enfants, Raphaël, 7 ans, qu’elle a eu avec Gad Elmaleh, et Balthazar, 2 ans, fruit de son union avec Dimitri Rassam, la nièce du prince Albert de Monaco ne se résume pas à sa vie de famille. Loin s’en faut. Quand elle ne participe pas à des compétitions équestre, elle s’intéresse à la littérature et à la philosophie. Après un bac littéraire, une hypokhâgne et une khâgne, puis une licence de philosophie, la jolie brune au background solide a cofondé en 2015 les rencontres philosophiques de Monaco, puis en 2021, les rendez-vous littéraires rue Cambon.
Et si elle surprend sur ce terrain, Charlotte Casiraghi assume : « tout ça, la littérature, la philo, la poésie est présent dans ma vie depuis très longtemps. Mais ça n’intéresse pas vraiment… Du coup, certains pensent que ces projets sont venus comme une coquetterie« .
Et d’ajouter : « Les gens aiment bien les cases. Mais j’ai l’habitude, il faut sans cesse que je réexplique, y compris à des connaissances, qui vont me dire : ‘Ah ! Mais on ne savait pas que tu t’intéressais à tout ça !’ alors qu’elles vont m’écrire quand un truc sort dans la presse que ma vie personnelle… ».
Ses rares confidences politiques
Et si elle n’en dit pas plus sur ce dernier terrain de sa vie privée, à l’occasion de cette rare interview, la fille de Caroline de Monaco s’autorise toutefois de rares déclarations sur ses opinions politiques. Elle alerte : « Je suis très inquiète de la question du repli identitaire, et, partant de celle de l’universel. Après, le souci de donner de la visibilité à ceux qui sont invisibles est important (…) Dans le même temps, dire ‘je combats ça, mais moi, j’exerce une oppression en retour’ peut générer un cycle de violence infernal« .
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