Dans les colonnes du JDD, Brigitte Bardot raconte comment elle vit son confinement, à Saint-Tropez.
Confinée chez elle , à la Madrague, près de Saint-Tropez (Var) (depuis déjà 15 ans maintenant), Brigitte Bardot n’est pas mécontente des conséquences de l’épidémie de coronavirus. C’est ce que l’actrice de 85 ans a confié ce 12 avril dans les colonnes du JDD. Elle qui dit ne pas aimer « la compagnie des humains » a expliqué : « Il n’y a plus un avion, plus un bateau, plus une bagnole. Plus un touriste ni de foule qui hurle. C’est sublime ! » Et d’ajouter : « Je revois des écureuils, des oiseaux en pagaille et même des sangliers sur le chemin du littoral ».
« Je ne vois personne et je ne sors pas de chez moi »
L’occasion pour cette militante de la cause animale de rappeler que cette crise sanitaire est le résultat de l’inconscience du grand public. Elle dénonce : « On a pillé, foré, ravagé les sols, pollués les cours d’eau et les océans. La Terre nous donne un dernier avertissement ». Elle déplore aussi : « C’est peut-être la fin du monde (…) L’homme se souviendra du confinement puis il reprendra comme avant sa course folle . Rien ne changera ».
Pour ce qui est de sa santé, l’ex star de cinéma ne s’inquiète pas particulièrement. Tandis qu’un dernier bilan officiel dimanche annonce 14 393 morts en France, BB assure : « Je ne suis pas du tout inquiète. Ce qui doit arriver, arrivera. En même temps je ne vois personne et je ne sors pas de chez moi ».
« Je n’ai pas de médecin »
Une santé de fer qu’elle doit à son régime alimentaire. En effet, la meilleure amie des animaux rappelle : « Je n’ai pas de médecin (…) ça fait quarante ans que je ne mange plus de viande. Je me contente de légumes, d’oeufs et de salade ».
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F.A
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