Après avoir été moquée par ses camarades des Grosses Têtes le 8 mars dernier, Christine Bravo a évoqué une drôle de période de sa vie…
Frou-Frou ou encore Union libre, Christine Bravo a été pendant près de deux décennies l’une des animatrices les plus présentes sur le service public. Et même si elle s’est désormais éloignée de la présentation d’émissions aussi suivies, la toujours très dynamique sexagénaire régale les auditeurs de RTL par ses passages, toujours très remarqués, au sein des Grosses Têtes. Après une brouille de trois ans avec son ami Laurent Ruquier, elle fait de nouveau entendre sa gouaille légendaire au côté de l’animateur d’On est en direct. Et quand elle ne pétarade pas sur les ondes FM, la sociétaire des Grosses Têtes le fait sur les réseaux sociaux.
En cause ? Son ancien mariage qui nuirait aujourd’hui à sa retraite. « Les filles qui divorcent, (ou pas) faut que je vous dise un truc très important : notez le numéro de sécu de votre mari illico. Pourquoi ? La caisse de retraite l’exige pour vous verser vos droits même 20 ans après votre divorce ! Je mets Emmanuel Macron en copie !« , s’est insurgée l’animatrice en décembre dernier. « Alors qu’on ne m’a jamais demandé mon numéro de sécu pour sa retraite ! Et vous ne comprenez pas mon indignation ? Comment les femmes précaires font pour survivre dans pareil cas ? », a-t-elle répondu à un twittos. « La caisse de retraite me harcèle pour ce numéro de sécu, ok ? Et bloque mon dossier ! 30 ans de journalisme derrière moi, je vous respecte, mais je sais ce que je dis. Amicalement«
Mais les histoires de mariage ne sont pas qu’un lointain et douloureux souvenir pour Christine Bravo. En effet, l’animatrice des Jupons de l’Histoire a confié qu’elle allait se marier avec son nouveau compagnon au mois de juin prochain. Une nouvelle idylle qui aurait métamorphosé l’animatrice selon ses collègues des Grosses Têtes. « Alors Christine maintenant sent très très bon. Depuis qu’elle a un nouveau compagnon…« , glisse Laurent Ruquier le 8 mars dernier. « Ah oui ça sent l’entretien ! Ah non mais c’est vrai je me rappelle à Europe 1 elle n’arrivait pas coiffée limite en pyjama.« , renchérit Steevy Boulay avant que la principale intéressée ne vienne se justifier et brandir son honnêteté jouissive : « Mais c’est l’époque où j’étais droguée. Quand on se drogue on ne fait pas attention à soi.«
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