Ce 20 février, Céline Dion et sa nombreuse fratrie ont rendu une dernière fois hommage à leur mère Thérèse, au funérarium Alfred Dallaire, à Laval, au Canada. Si aucune photo de la diva n’a filtré, comme ce fut le cas lors des obsèques de René Angélil, il y a 4 ans, c’est en grande partie en raison de l’impressionnant dispositif de sécurité déployé autour d’elle…
C’est un recueillement qu’elle attendait. Et qu’elle a souhaité le plus intime possible, à l’évidence. Ce 20 février, Céline Dion, jusqu’alors retenue par son Courage World Tour, a enfin pu retrouver ses 13 frères et soeurs pour célébrer une dernière fois la mémoire de leur mère Thérèse. Si nul ne sait encore exactement quand elle a été incinérée après son décès déclaré le 17 janvier, « Maman Dion », comme on la surnommait au Canada, a réuni tout son clan au funérarium Alfred Dallaire, à Laval, où elle résidait. L’émotion était évidemment intense, tant Thérèse Tanguay-Dion aura fait figure de mère courage jusqu’à ses 92 ans. Mais la sécurité était aussi à son paroxysme, nous apprend Le Journal de Montréal.
Si la star n’a pas manqué de donner de ses nouvelles à ses fans, après son dernier au-revoir à sa mère, elle n’était pas visible à Laval, ce 20 février. Et pour cause : selon nos confrères québécois, Céline est arrivée séparément de sa fratrie et par un autre accès que l’entrée principale du funérarium Alfred Dallaire. Après s’être donné rendez-vous chez Thérèse Dion, dans le quartier Saint-Rose, les 13 frères et soeurs de la chanteuse et leurs familles respectives sont montés à bord d’autobus, mais la petite dernière de la fratrie a, elle, été véhiculée par un van noir, une heure plus tard. Céline est par ailleurs « entrée dans l’établissement loin des regards, par une porte de côté », sur les coups de 10 heures, rapporte Le Journal de Montréal. Même souci de discrétion pour ses fils : « Ses enfants, René-Charles, 19 ans, ainsi que les jumeaux de 9 ans, Eddy et Nelson, sont allés la rejoindre à 14 h, de manière tout aussi discrète », affirment nos confrères. Pas question de faire de ce triste évènement familial une affaire nationale très médiatisée, comme l’avaient été les obsèques de René Angélil.
Des gardes à l’intérieur du funérarium, des patrouilles qui circulaient à l’extérieur… et un fan invité à quitter les lieux
Toujours selon Le Journal de Montréal, le salon funéraire où trônait l’urne de Thérèse Tanguay-Dion – encerclée par une dizaine de bougies et une centaine de fleurs blanches – était interdit d’accès aux photographes et aux caméras de télévision, même si quelques journalistes ont pu présenter leurs condoléances à la famille. « Plusieurs gardes de sécurité arpentait les lieux », afin d’assurer un peu plus la tranquillité de Céline, déjà très entourée par ses soeurs aînées Pauline et Manon. « Sur leurs visages, l’émotion était palpable. Certains gardaient un mouchoir à portée de main tellement leurs larmes coulaient. D’autres affichaient un air serein. Et quand des souvenirs heureux refaisaient surface au cœur d’une anecdote, on pouvait entendre des rires », précisent nos confrères québécois.
Mais la sécurité était aussi assurée à l’extérieur du funérarium, selon Le Journal de Montréal. « La présence policière a été assurée par trois autopatrouilles durant toute la journée », précise le quotidien québécois, pour qui « aucun incident majeur n’a été signalé. » Seul « un admirateur de Céline en provenance du Massachusetts a été invité à quitter les lieux en tout début de matinée », laissent échapper nos confrères. Assez pour inquiéter Céline ?
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