Mariée à Nicolas Sarkozy au cours de son mandat présidentiel, Carla Bruni s’est, du jour au lendemain, retrouvée première dame. En mars 2008, lors de son premier voyage officiel pour honorer ce titre prestigieux, l’ancien mannequin a été accueillie à Londres par… des photos d’elle nue, dans tous les kiosques.
Ce jeudi 18 juin 2020, Emmanuel Macron va se rendre à Londres pour célébrer le 80e anniversaire de l’appel du 18 juin du Général de Gaulle. Pour ce voyage officiel qui signe la reprise des échanges diplomatiques après la crise du coronavirus, le président de la République ne sera malheureusement pas accompagné de son épouse Brigitte Macron. La première dame doit en effet être hospitalisée et subir une importante intervention chirurgicale.
Cette actualité diplomatique doit certainement raviver quelques souvenirs à Carla Bruni qui, il y a plus d’une décennie, a elle aussi été première dame de France. En mars 2008, Carla Bruni avait d’ailleurs effectué son tout premier voyage officiel en tant que première dame de France en se rendant à Londres avec Nicolas Sarkozy qui était son mari depuis seulement un mois… et président de la République depuis moins d’un an.
« Partout, j’étais nue »
Cette première visite officielle reste un important souvenir pour la belle italienne… notamment car l’accueil que les Anglais lui avaient réservé, fut plutôt particulier.
« Quand je suis allée rencontrer la Reine, je faisais la une de la presse britannique. Partout, j’étais nue. Alors que j’étais simplement venue en Angleterre avec mon homme, tous les journaux avaient mis une photo de moi nue en couverture » s’est souvenue Carla Bruni dans une interview accordée au magazine Dujour en 2013.
En mars 2008, l’impitoyable journal britannique « The Sun » avait en effet décidé de faire sa Une en repliant d’anciennes photos dénudées de Carla Bruni. Le média avait titré « Mrs Starkersky », tentant alors de faire un jeu de mots avec une expression qui veut dire « À poil » et son nouveau nom de famille.
Pas de quoi démonter la maman de Giulia et Aurélien qui avait très bien pris la chose : « La seule consolation, c’est qu’à l’époque où cette photo a été prise, j’avais 24 ans. Ça appartient au passé ! On ne peut pas pleurer sur ce qui a été fait. Je ne m’en suis pas trop préoccupée et puis j’étais tellement ravie de rencontrer la Reine ! » avait-elle déclaré dans le New York Post.
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Aliénor de la Fontaine
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