Bruno Guillon : son cadeau le plus romantique pour sa femme, sa pire St-Valentin, les amours de son fils… il se lâche !

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INTERVIEW – Du 13 au 15 février 2020, Bruno Guillon présentera trois émissions “spéciales Saint-Valentin” des Z’amours. À cette occasion, Femme Actuelle s’est entretenu avec l’animateur pour en apprendre plus sur sa vie amoureuse. Ses expériences passées, sa femme, son fils… Il nous confie tout !

Pour Bruno Guillon, la Saint-Valentin ne durera pas le temps d’une soirée, mais bien pendant trois jours ! Les 13, 14 et 15 février 2020, il présentera trois émissions spéciales des Z’amours. Des seniors mariés depuis 50 ans, des couples aux mariages insolites, et des couples de 15 à 18 ans se réuniront chaque jour sur le plateau de France 2. Pour Femme Actuelle, c’était l’occasion d’en savoir un peu plus sur l’animateur, et surtout… sur sa vie amoureuse ! Bruno Guillon est marié depuis près de 20 ans. Si le nom de son épouse n’évoque pas grand chose, sa voix en revanche sera peut-être plus familière… Depuis le début de l’année 2018, Marion Guillon est en effet la voix-off de l’émission de Stéphane Plaza, Chasseurs d’appart. Ensemble, ils sont les heureux parents du petit Anatole, né en novembre 2008.

Spontanée. C’est ainsi qu’il décrit sa vie amoureuse. Son secret pour maintenir la flamme après deux décennies ? Savoir écouter. S’il reste très discret sur sa vie privée, Bruno Guillon est en réalité un coeur d’artichaut. Ses gestes romantiques, sa vision du parfait rendez-vous, ses comédies romantiques préférées… Il nous dit tout de sa vie sentimentale.

Femme Actuelle : Qu’est-ce que ces émissions spéciales St-Valentin auront de particulier ?
Bruno Guillon :
La St-Valentin c’est un peu la fête nationale des Z’amours ! Ça faisait longtemps que je rêvais de faire une émission autour des ados. En grandissant on a tendance à oublier comment on était plus jeune, mais je pense que je dois avoir le syndrome Peter Pan. Moi je me souviens très bien qu’à 14-15 ans, mes premiers flirts c’était chaque fois la femme de ma vie, que je disais à mes parents qu’ils ne comprenaient rien à l’amour et qu’on allait se barrer, ouvrir un bar à mojito sur une plage de Bali… Je trouve que cette idée de mettre des ados va super bien au programme. L’amour, c’est multigénérationnel et multisexe. Moi je suis content de réancrer cette émission dans l’ère du temps. Depuis que j’ai repris les Z’amours on a beaucoup plus de couples issus des LGBT et on les traite tous de la même façon, parce que c’est le reflet de la société aujourd’hui. C’était important de le faire.

Votre pire Saint-Valentin ?
B.G. :
Je crois que ça va être cette année, puisque je présente les Victoires de la musique le 14 février. Donc je n’aurais pas de Saint-Valentin du tout ! À part ça, je n’ai pas de mauvais souvenirs qui me viennent.

La fille à qui vous n’avez jamais osé déclarer votre flamme ?
B.G. :
Ah non, moi j’ai toujours déclaré ! J’ai beaucoup de mal à contenir mes sentiments, les bons comme les mauvais. Et ça m’a parfois joué des tours… Je suis assez lisible à ce niveau, je n’ai jamais aimé quelqu’un en secret. Je me suis pris des râteaux, évidemment, mais l’avantage c’est qu’on sait tout de suite à quoi s’en tenir. Et puis, je m’en suis relevé ! Je suis du genre à dire qu’il vaut mieux vivre avec des remords qu’avec des regrets. Après au lycée j’ai eu de la chance, les filles dont j’étais amoureux l’étaient aussi.

La comédie romantique qui vous a fait verser une larme ?
B.G. :
Toutes ! Je suis très bon client, je chiale quoi qu’il arrive. Il y en a plein qui me tirent les larmes : Quatre mariages et un enterrement, Love Actually, Pile et face… En règle générale je suis très lacrymal sur les comédies romantiques ! La scène du discours à l’église dans Quatre mariages et un enterrement, à chaque fois que je la vois je pleure. Bizarrement, Titanic pas tellement. Après c’est aussi parce que je suis de ceux qui sont persuadés que Leonardo DiCaprio avait une place sur la planche…

Le truc le plus romantique que vous ayez fait pour votre femme Marion ?
B.G. :
Un jour à son insu, alors attention je ne dis pas qu’il y en a eu qu’un, j’avais posé des congés auprès de son employeur. Et un matin, je l’ai récupérée alors qu’elle arrivait à son travail. Elle se demandait ce que je foutais là, et je lui ai dit “viens, monte dans la voiture” et on est partis une semaine aux États-Unis. C’était venu d’une image d’un parc d’attractions qu’on avait vu et qui nous avait donné envie, et sur un coup de tête je me suis occupé de tout ! Sur le coup elle était angoissée, parce qu’elle venait de prendre ce travail et elle s’est dit qu’elle allait se faire virer, mais après elle a kiffé.

Votre rencontre ?
B.G. :
C’était en 1999 et elle était cheffe de rang dans un hôtel-restaurant où je séjournais un soir pour le travail. Elle m’avait tapé dans l’oeil mais il ne s’est rien passé, parce qu’à l’époque j’étais avec quelqu’un. Et je suis revenu, toujours pour le travail, un an après. Je n’étais plus en couple, et ça s’est fait un peu comme ça, c’était une évidence.

Comment s’est passée la demande en mariage ?
B.G. :
C’était très classique, et surtout très rapide. En fait, j’étais contre le mariage. Et quand je me suis mis avec elle, j’ai fait ma demande au bout de six mois. C’était une évidence. Il n’y a pas eu besoin d’en faire des caisses, le fait que j’en fasse une était déjà déstabilisant pour elle ! C’était un resto, j’étais un peu timide et mal à l’aise parce que le mariage c’était pas mon truc. Je n’ai pas scénarisé la chose de façon dingue.

Votre rendez-vous galant idéal ?
B.G. :
Je pense qu’il n’y a pas forcément besoin de scénarisation pour rendre un moment idéal. Un sandwich partagé sur un coin de plage… Je suis plus sur l’instantanéité du moment. Je trouve que quand on réfléchit aux moments forts de notre vie, ce n’est pas forcément ceux qui ont été les plus théâtralisés. Un casse-dalle dans un endroit avec une super vue peut être tout aussi romantique, voire plus, qu’être assis à la table d’un grand restaurant !

Quelle anecdote auriez-vous racontée si vous aviez participé aux Z’amours avec votre femme ?
B.G. :
Eh bien, je n’aurais pas participé aux Z’amours avec ma femme ! Je suis beaucoup trop pudique sur ma vie privée pour pouvoir faire ce genre d’émissions. C’est horrible ce que je dis, parce que je la présente, mais c’est pour préserver ma femme et mon fils.

Vous serez donc sur le plateau des Victoires de la musique le 14 février, mais avez-vous tout de même prévu d’offrir un cadeau à votre femme ?
B.G. :
Je ne suis pas du genre à changer drastiquement ma façon d’être pour ce jour particulier. Je ne vais pas être de l’école anti-Saint-Valentin parce que c’est nul, mais moi j’aime bien les surprises. Je suis plus de l’école à offrir des cadeaux aux moments où on ne s’y attend pas, plutôt qu’aux moments extrêmement attendus. Et ma femme est complètement sur la même longueur d’ondes que moi. Pour l’instant je n’ai rien prévu, mais peut-être que ce sera après, ou avant…

Comment votre fils de 11 ans, Anatole, perçoit-il votre célébrité ?
B.G. :
Je crois qu’il s’en fout. J’ai tout fait pour l’élever dans ce sens en tout cas. La notoriété c’est quelque chose d’extrêmement éphémère, et j’ai moi même un rapport très distant à ça. Si on y accorde trop d’importance, la chute est douloureuse. Je serais plâtrier peintre, ou tout autre type de profession, je pense que ça lui ferait exactement le même effet. Comme je fais de la radio, je n’ai jamais pu l’emmener le matin, j’ai raté toutes ses rentrées scolaires, par contre dès que je peux j’essaie d’aller le chercher le soir. C’est vrai que ça peut arriver que ses camarades parlent de moi. Même moi je lui dis “tu sais, à un moment tu vas en avoir plein le cul que je t’attende devant le collège, et tu vas me demander d’aller attendre au coin de la rue” et il me dit “non non, pas de soucis, tu viens me chercher”. Donc il a un recul par rapport à ça, il se dit “mon père fait de la télé, et alors ?

Et lui alors, est-il amoureux ?
B.G. :
Je ne sais pas du tout s’il a une amoureuse, ou un amoureux d’ailleurs ! Et puis c’est le genre de question de tonton relou que j’aurais pu poser à ma nièce ou mon neveu, mais en tant que papa je ne lui demande pas. Il n’est pas très branché sur ça, c’est pas ce qui obsède son esprit.

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