Bilal Hassani : le nouveau juré de Danse avec les stars révèle avoir été violé en 2019

C’est un témoignage bouleversant qu’a réalisé Bilal Hassani sur TF1, qui sera diffusé ce dimanche 11 septembre à 19h30 dans Sept à Huit. Le nouveau juré de Danse avec les stars s’est livré avec émotion sur le viol qu’il a subi en 2019.

Sur Twitter, un extrait de l’émission Sept à Huit de ce dimanche 11 septembre a été dévoilé, laissant apparaître un Bilal Hassani touchant, et vulnérable. Le tout nouveau membre du jury deDanse avec les stars s’est récemment confié à la journaliste phare de TF1, Audrey Crespo-Mara, comme il ne l’a jamais fait.

Le chanteur évoque pour la toute première fois le viol qu’il a subi en 2019 et, ému, en parle avec ses mots et sa sincérité. Lorsque la journaliste de Sept à Huit commence à aborder le sujet, Bilal Hassani inspire, et accepte d’en parler : "C’est quelque chose qui me hante depuis l’année où ça s’est passé. C’était en 2019", a-t-il introduit, avant d’annoncer que l’agresseur était quelqu’un de "son cercle", en qui il "avait confiance".

Bilal Hassani "C’était un viol. Voilà"

Le chanteur a par la suite expliqué le déroulé de cette fameuse soirée, où le viol a eu lieu : "On est parti en soirée. Et je suis rentré de cette soirée avec lui. J’avais bu, deux-trois verres, mais je ne ressentais pas ce que l’on ressent quand on ne boit que deux-trois verres", a-t-il assuré, avant d’affirmer : "J’étais clairement sous l’influence d’une substance que je n’avais pas voulu prendre".

Non sans difficulté, l’interprète de Roi, a poursuivi : "J’ai commencé à avoir des black-out, des moments oùje perdais la mémoire. Et je me réveillais, et il se passait, ce qui peut se traduire comme une agression sexuelle. C’était un viol. Voilà". Il a par la suite confié sa réaction après avoir compris ce qu’il s’était passé : "Je me suis dit : ‘Ne pose pas de questions, ne dis rien, avance, passe à autre chose’".

Quand Audrey Crespo-Mara lui demande pourquoi il n’a pas souhaité porter plainte, Bilal répond dans un premier temps qu’il ne "pouvait pas" : "Je ne me sentais pas le courage de parler en public. Et là, c’est la seule fois où je vais le faire", a-t-il averti, avant de donner une seconde raison à son silence : "Je n’avais pas envie de donner une nouvelle corde pour nourrir la haine que je reçois. Si j’avais porté plainte, ça se serait su, assez vite, et ce serait devenu le sujet", a-t-il conclu.

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