Les nouvelles sont inquiétantes pour Bernard Pivot. Selon un article de France Dimanche, l’ancien présentateur de 86 ans serait hospitalisé depuis un mois, son état de santé n’allant pas en s’améliorant…
Il a éveillé la curiosité des téléspectateurs avec ses émissions culturelles bien ficelées : Ouvrez les guillemets, Bouillon de culture, Apostrophes… Bernard Pivot a pourtant fait ses adieux au petit écran, mais aussi à la presse écrite, en mettant un terme à ses chroniques littéraires tant appréciées dans le Journal du Dimanche pour profiter d’une retraite bien méritée. Mais l’ex-présentateur serait actuellement en mauvaise posture, comme l’a révélé un article paru dans un nouveau numéro de France Dimanche, en kiosque depuis le 4 février. Celui-ci se trouverait depuis un mois à l’hôpital et “serait très affaibli”.
Nos confrères n’ont pas précisé la nature de cette hospitalisation qui n’avait jusqu’alors pas été médiatisée. À 86 ans, la santé de Bernard a ainsi été décrite comme étant fragile par le magazine et se détériorerait « chaque jour un peu plus”. L’écrivain s’est pourtant montré toujours des plus attentifs quant à la préservation de sa forme. Sur le plateau de C à vous en mars 2029, il avait ainsi appelé à la vigilance de tous concernant la pandémie de Covid-19 : « Je ne regarde pas beaucoup de fictions, mais de temps en temps j’en regarde, et quand je vois un couple où l’on voit les deux visages qui s’approchent et où l’on sent qu’ils vont s’embrasser, alors je me lève et je dis ‘non, non, non, arrêtez ! 1 mètre de distance !‘ »
Vivre au jour le jour
L’ancien pilier de l’Académie Goncourt s’est toujours montré ouvert sur la question du temps qui passe. Conscient de son âge, l’auteur de Mais la vie continue a abordé plus d’une fois le sujet, et toujours avec un certain hédonisme : “Je n’ai plus beaucoup d’étés devant moi, à 84 ans. C’est un choix un peu égoïste de dire : « Pour les dernières années qu’il me reste, privilégier mon plaisir de vivre, d’exister, d’avoir des relations avec mes proches, de profiter du soleil, de la mer, plutôt que de continuer à lire mes jeunes confrères’. »
Article écrit en collaboration avec 6Medias
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