Beatrice et Eugenie d’York pourraient bien s’avérer être de précieux atouts pour leur oncle, le roi Charles III. Alors que le souverain de 74 ans cherche à dépoussiérer la monarchie en réduisant le nombre de membres actifs, les experts royaux sont nombreux à pointer les qualités de ses nièces.
Les princesses d’York sont-elles la botte secrète de Charles III ? Discrètes et modèles, Beatrice et Eugenie, les filles du prince Andrew et de Sarah Ferguson, sont loin bien plus utiles à la monarchie qu’on ne le pense. Si leur souverain d’oncle souhaite restreindre le nombre de membres actifs de la Couronne depuis son arrivée sur le trône en septembre 2022, il ferait mieux de réfléchir à deux fois avant d’écarter d’office les cousines de ses fils. Il ne reste plus que quatre membres de la famille royale en activité âgés de moins de 70 ans : le prince et la princesse de Galles, William et Kate, ainsi que le duc et la duchesse d’Édimbourg, le prince Edward et Sophie de Wessex.
Parfaite illustration du mantra si cher à leur grand-mère, “ne jamais se plaindre, ne jamais s’expliquer”, Beatrice et Eugenie pourraient même s’avérer être la réponse au “problème flagrant” qu’est la popularité du roi, selon le Daily Express. Comme le souligne le journal britannique, les princesses de 34 et 33 ans sont dévouées à leurs œuvres caritatives respectives depuis déjà de nombreuses années. Dans le cadre de son podcast Tea Talks, leur mère avait d’ailleurs salué leur capacité à conjuguer leur travail et leur maternité. “Mes filles sont incroyables. Ce n’est pas une question de travail ou de non-travail parce qu’elles travaillent très, très dur en public et elles travaillent très, très dur en privé”, avait-elle assuré, félicitant “l’équilibre” trouvé par ses filles au fil des années.
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Beatrice et Eugenie d’York, des “choix évidents” pour le bien de la Couronne
En effet, les sœurs d’York ont chacune leur domaine de prédilection. “Beatrice se bat contre la dyslexie, elle parle publiquement de ses besoins particuliers à l’école et Eugenie a des tiges métalliques de 15 cm dans le dos parce qu’elle a une scoliose. Elle parle ouvertement de l’importance de déstigmatiser la cicatrice”, avait ainsi éclairé Sarah Ferguson dans son podcast.
Ancienne correspondante royale de la BBC, Jennie Bond a confirmé les dires de la duchesse en déclarant à OK ! Magazine : “Sarah est, à juste titre, extrêmement fière de ses deux filles. Elles ont dû supporter beaucoup de choses au fil des années”, a-t-elle ainsi rappelé. “Leurs parents ont été publiquement humiliés, elles ont elles-mêmes été ridiculisées pour leur style vestimentaire et leur mode de vie, mais nous ne les avons jamais entendues se plaindre”, a pointé avec respect la journaliste. “Aujourd’hui, elles sont devenues des jeunes femmes équilibrées et brillantes… et maintenant des épouses et des mères.”
Pour cette experte de la royauté, il est évident que Beatrice et Eugenie devraient intégrer le cercle très restreints des membres actifs de la Couronne. “Beatrice et Eugenie sont les choix évidents si la famille royale se retrouve soudainement si réduite qu’il n’y en a tout simplement plus assez pour tout le monde”, a-t-elle affirmé, précisant que si elles venaient à travailler pour la monarchie, elles seraient épaulées financièrement par “le portefeuille” du souverain. Ce qui fait sans doute hésiter Charles III, qui tente tant bien que mal de réduire les dépenses de la Firme au strict nécessaire.
Crédits photos : Agence / Bestimage
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