Baptiste Giabiconi : sa terrible réaction en apprenant la mort de Karl Lagerfeld

Il y a un an déjà, Karl Lagerfeld tirait sa révérence. Un déchirement pour Baptiste Giabiconi, son ami et sa muse. Dans son livre, Karl et moi, le mannequin revient sur le jour où il a appris la mort du couturier.

Le 19 février 2019, le monde de Baptiste Giabiconi s’écroulait. Karl Lagerfeld s’éteignait à l’âge de 85 ans en laissant derrière lui ses plus belles créations pour les maisons Chanel ou Fendi. Une disparition qui a marqué le monde de la mode et en particulier Baptiste Giabiconi, qui étaitdevenu ces dernières années la muse du célèbre couturier. Un an après la mort du Kaiser, le mannequin de 30 ans a décidé de se confier sur leurs relations si particulières. Sur Facebook, il a célébré ce triste anniversaire en lui rendant un vibrant hommage.

« Un an. Ce moment où je me suis senti lourd, vide, brisé. Ce moment où la solitude m’a envahi. Ce moment de peur. Ce moment impossible à expliquer. Tout s’est arrêté quand tu m’as quitté. Je sais que tu es avec moi, que tu es la, près de moi. Tu me manques mon ange. Je t’aime », a-t-il écrit sur le réseau social. C’est également dans un livre, Karl et moi, que Baptiste Giabiconi a choisi de s’exprimer à cœur ouvert. Outre sa rencontre et son amitié avec Karl Lagerfeld, le jeune homme a évoqué la disparition de ce dernier dont il est le premier héritier. Un choc qui l’a anéanti en apprenant la terrible nouvelle au téléphone par le bras droit du couturier.

« Je raccroche. Je balance à l’autre bout de la chambre le téléphone de la mort », écrit Baptiste Giabiconi dans son livre, en révélant être « tombé au fond d’un trou de cinquante étages » et avoir poussé « une sorte de gémissement géant ». Le jeune homme a même pensé au pire. « Je vais me suicider. J’y ai pensé, sur le coup. Ce serait normal, le plus simple, la logique. Hop, plus là non plus. Je peux tourner fou, aussi, marteau, enfoncé dans cette douleur jusqu’à ce qu’elle m’anéantisse. Pendant des jours et des jours, j’ai eu du mal à respirer, à bouger, à descendre un escalier, pris par ce trou ouvert sous mes pieds », poursuit le mannequin. Inconsolable, ce dernier « ne mange plus » et « ne parle à personne » durant plusieurs semaines. Un an plus tard, sa peine ne s’est pas envolée.

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