Le mannequin Baptiste Giabiconi, 30 ans, sort ce jeudi 27 février « Karl et moi », aux éditions Robert Laffont, dans lequel il raconte sa relation unique avec son pygmalion, le regretté Karl Lagerfeld. Si le beau brun a dévoilé ce dimanche 23 février dans Sept à huit être l’un des héritiers de Karl Lagerfeld, il vient de dévoiler sur France Bleu Provence le rapport très éloigné qu’il avait à l’argent.
Le 19 février 2019, l’immense Karl Lagerfeld décédait des suites d’un cancer de la prostate. Un peu à la surprise général, le séduisant mannequin français Baptiste Giabiconi, 30 ans, a dévoilé dans l’émission Sept à huit ce dimanche 23 février être le principal héritier de la fortune colossale du créateur de la maison Chanel (des biens immobiliers, mobiliers, artistiques et autres sociétés estimés en totalité à environ un milliard d’euros).
Très proche du créateur qui l’a révélé il y a treize ans, Baptiste fait aujourd’hui la tournée des médias pour promouvoir Karl et moi, un ouvrage publié ce jeudi 27 février aux éditions Robert Laffont et dans lequel le jeune mannequin raconte son rapport unique, filial et passionnel avec le « Kaiser » (une relation que les parents du jeune homme ont toujours approuvée et trouvée « exceptionnelle »).
Invitée ce jeudi 27 février sur les ondes de France Bleu Provence pour une sorte de retour aux sources promotionnel (Baptiste est originaire de Marignane), le jeune mannequin et neo-héritier s’est longuement confié sur Karl évidemment, mais aussi sur son rapport à l’argent. Le récent participant à l’émission Stars à nu a d’abord confié sur la radio régionale quant à ses motivations d’écriture : « Je voulais montrer au grand public la chance et l’opportunité que j’avais eues de côtoyer un grand monsieur comme Karl Lagerfeld. »
Interrogé ensuite sur cet héritage titanesque qu’il va toucher – le jeune mannequin est le premier sur la liste des héritiers qui sont au nombre de sept (il serait le mieux loti avec 30% du patrimoine du créateur) -, Baptiste Giabiconi a balayé une quelconque vénalité d’un revers de main, déclarant tout simplement, presque ingénu : « Pour moi, l’argent n’a aucun intérêt. Ça n’enlève pas l’amour que je porte pour Karl, j’ai un devoir de mémoire à son égard. » Un devoir qui débute donc aujourd’hui avec la sortie de cet ouvrage consacré au génie de la mode, et qui se poursuivra sans doute dans les mois ou années à venir. Sous quelle forme ? Nul ne le sait, mais avec la fortune qu’il va prochainement toucher, Baptiste aura certainement les moyens et les mains libres pour honorer la mémoire de celui qui restera sans aucun doute comme l’un des hommes les plus importants de sa vie.
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