Placé en garde à vue pour “violences réciproques sur conjoint”, le couple formé par Aya Nakamura et Vladimir Boudnikoff a fait couler beaucoup d’encre ces derniers jours. Ce week-end, le producteur est sorti du silence.
Séisme dans la sphère musicale. Samedi 6 août, Aya Nakamura a été placée en garde à vue au commissariat de Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) aux côtés de son compagnon, Vladimir Boudnikoff. La raison de cette interpellation ? L’interprète du tube “Djadja” et le célèbre producteur de rap ont été accusés de faits de “violences par conjoint ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure à huit jours”, selon des informations relayées mercredi 10 août par TF1/LCI et BFMTV. Tous deux ressortis libres, ils ont néanmoins reçu une convocation judiciaire pour répondre de leurs actes au tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis). Ce vendredi 12 août, sur Instagram, Vladimir Boudnikoff a indiqué que lui et sa moitié auraient “fait des bêtises ce soir-là”.
Tenant à réagir aux nombreuses spéculations, le compagnon de la chanteuse de 27 ans est ainsi revenu sur cette soirée en écartant les scénarios les plus envisagés, sans pour autant dévoiler les tenants et les aboutissants de cette brouille. “La femme que j’aime et moi-même allons très bien. Vraiment rien de grave, rien”, a-t-il indiqué en story dans un premier temps. Et de poursuivre : “Je n’ai braqué personne, avec aucune arme à feu, sans poudre, ni balles… Hein. Je ne suis pas El Chapo”, faisant écho au célèbre baron de la drogue mexicain.
Aya Nakamura, victime de violences conjugales par le passé
“Je ne pensais pas que ça pouvait m’arriver à moi”, une phrase que beaucoup de femmes victimes de violences conjugales ont prononcée, à l’image d’Aya Nakamura. Dans un entretien accordé à Léa Salamé pour le podcast Femmes puissantes, l’autrice-compositrice-interprète à succès est revenue sur les bruits alimentés par une photo (rapidement supprimée) sur laquelle on apercevait son visage tuméfié, alors qu’elle était en couple avec son ex-compagnon : “Je l’ai publié sans forcément attendre quoi que ce soit et quand j’ai vu tout ce qu’il se passait, les médias qui avaient tout repris, je me suis dit ‘Non, je ne veux plus’. J’avais quand même un peu honte.” Et d’ajouter : “J’aurais pu faire comme tout le monde et raconter ce qu’il s’est passé clairement. Je pense que j’ai été un peu lâche.”
Article écrit en collaboration avec 6Medias
Crédits photos : CYRIL MOREAU / BESTIMAGE
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