Depuis plusieurs mois, le prince Andrew est dans la tourmente. Le fils d’Elizabeth II est accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec des adolescentes et son implication supposée dans l’affaire Epstein lui est reprochée. Un scandale qui éclabousse également sa fille, Eugenie d’York.
La polémique n’est pas près de s’essouffler. Depuis plusieurs mois, le prince Andrew est empêtré dans l’affaire Epstein et est lui-même accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec des adolescentes. Après un long silence, le fils d’Elizabeth II a finalement décidé de s’exprimer. Les britanniques ont donc découvert sa ligne de défense ce samedi 16 novembre au cours d’une interview filmée par la BBC Two. Mais il y a un hic. La famille royale britannique ne semble pas toujours être experte dans l’art de redorer son blason. Cette fois-ci n’a donc pas fait exception.
Cette interview était sans doute une terrible erreur pour le prince Andrew. Un naufrage médiatique. En voulant rétablir sa vérité, il s’est tiré une balle dans le pied. Ses arguments n’ont fait qu’alimenter la controverse. Les britanniques sont unanimes : sa communication est désastreuse. Si bien que les œuvres de charité qu’il soutenait jusqu’à présent se sont désolidarisées et ne souhaitent plus l’avoir comme parrain. Sauf que cela ne l’implique pas uniquement lui. Cela éclabousse toute sa famille. A l’instar de sa fille, Eugenie d’York.
Et pour cause, la jeune mariée est la cofondatrice du collectif Anti-Slavery, comme son nom l’indique il s’agit d’une œuvre de bienfaisance qui lutte contre l’esclavage moderne. La jeune femme de 29 ans se serait ainsi dit « très inquiète » de la manière dont le scandale pourrait avoir un impact sur cette organisation, comme le rapporte Vanity Fair ce mardi 19 novembre. Sa sœur aînée, Beatrice d’York est également été mêlée contre son gré à cette affaire, puisque son père l’a prise comme mobile.
Quoi qu’il en soit, Beatrice, Eugenie et leur mère Sarah Ferguson restent unies derrière le prince Andrew. Tout comme le reste de la famille. Une impulsion sans doute lancée par Elizabeth II qui tiendrait à protéger celui qui serait son fils préféré.
Crédits photos : Bestimage
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