Ce 23 juin, à l’occasion de la fête de la Saint Jean à Monaco, les jumeaux princiers Jacques et Gabriella étaient de sortie ! Et les adorables enfants de Charlene et Albert ont bien grandi !
Au lendemain des obsèques de la baronne Elisabeth-Anne de Massy, cousine d’Albert de Monaco, le Rocher est de nouveau en fête. Ce 23 juin s’est tenue la traditionnelle célébration de la Saint Jean. Cette fête ancestrale annonce le début de la saison d’été et célèbre Jean Le Baptiste.
Jacques et Gabriella saluent depuis le balcon
Le Prince Albert II et la Princesse Charlène, accompagnées de leurs enfants, le Prince Héréditaire et la Princesse, ont assisté aux festivités depuis le Palais princier. Les petits Jacques et Gabriella, âgés de 5 ans, ont ainsi été photographiés en train de saluer depuis le balcon du palais, adorables.
Selon le compte officiel de la principauté, sur Facebook, on apprend qu’à « l’issue d’une cérémonie religieuse en la Chapelle Palatine, un « batafoegu » (feu de joie) a été allumé sur la Place du Palais et La Palladienne a animé les festivités ». Une procession et une parade auraient dû avoir lieu dans la foulée. Malheureusement, en raison de l’actuelle épidémie de coronavirus, les organisateurs ont été forcés d’adapter le planning.
La famille Grimaldi n’était pas masquée, mais toutes les règles de distanciation physique ont été respectées comme prévu. « Ces festivités se sont déroulées dans le strict respect des règles sanitaires en vigueur (port du masque et distanciation physique) » explique ainsi le communiqué officiel. Avec le déconfinement qui a déjà commencé progressivement début mai à Monaco, un nombre restreint de privilégiés ont pu insister à cette cérémonie.
Les mesures sanitaires toujours en vigueur
Des mesures qui ne sont pas du luxe puisqu’on se souvient que le 19 mars dernier, le prince Albert de Monaco, âgé de 62 ans, avait annoncé qu’il s’était fait tester positif au Covid-19. Dans un communiqué officiel, le Palais Princier annonçait que « son état de santé n’inspire aucune inquiétude », et qu’il allait être « suivi de près par son médecin traitant et des spécialistes du Centre Hospitalier Princesse Grace (CHPG) ».
Pendant toute le durée de sa maladie, il avait « continué de travailler depuis le bureau de ses appartements privée, en liaison permanente avec les membres de son cabinet, de son gouvernement ainsi qu’avec ses plus proches collaborateurs ».
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