Vincent Clerc est le nouvel ambassadeur du parfum Daniel Hechter

Toujours très liée à l’univers du sport, la marque Daniel Hechter sort sa nouvelle fragrance homme. Pour la représenter, l’ancien joueur international de rugby Vincent Clerc. Rencontre.

À tout juste quarante ans, Vincent Clerc est un homme accompli. Au terme d’une carrière qui l’a vu soulever les plus beaux trophées, il aborde désormais, serein et confiant, la seconde moitié de sa vie avec le même appétit de rencontres et de pas de côté. Silhouette tonique, larges épaules, démarche souple : au premier coup d’oeil, Vincent Clerc est resté le même, puissant et félin.

« Dans l’après-rugby, il y a un cheminement à faire avant de trouver l’équilibre. Cela m’a pris trois ans. Ma deuxième vie commence maintenant », avoue l’homme.

S’il a rangé ses crampons en 2018, Vincent Clerc continue de porter haut et fort les valeurs de l’ovalie. Lui, l’un des meilleurs marqueurs d’essais de l’histoire du championnat de France de rugby, ailier d’une efficacité remarquable mais aussi meilleur marqueur de la Coupe du monde de Rugby de 2011, reste néanmoins consultant pour France Télévisions. Et incarne cet hiver le dernier jus signé Daniel Hechter : Couture Sport.

GALA : Parlez-nous de ce nouveau rôle d’égérie.

Vincent Clerc : Je suis très fier d’avoir été contacté par une marque comme Daniel Hechter ! Amour du sport, luxe abordable… leurs valeurs sont en adéquation avec les miennes. Cette collaboration se fait donc très naturellement.

GALA : Parlez-nous de ce parfum.

V. C. : Il est assez vif, presque fusant, avec des notes de citron – une fraîcheur appréciable après une séance de sport, par exemple. Puis, ce sont des accords de bois, de cèdre et de patchouli qui se révèlent et qui tiennent sur la longueur.

GALA : En parfum, êtes-vous fidèle ou plutôt zappeur ?

V. C. : Je suis de nature fidèle mais j’aime bien changer de parfum ! Je trouve qu’une fragrance va représenter une saison, une humeur, un moment. J’aime le choisir en fonction de ce que j’attends de ma journée. Je ne me parfume pas de la même manière si je pars travailler ou si je vais faire du sport.

GALA : Êtes-vous sensible aux fragrances des autres ?

V. C. : Oui beaucoup ! Lorsque je rencontre une personne, je remarque toujours son parfum car je trouve que c’est un élément assez représentatif de la personnalité de chacun. Je n’hésite jamais à demander aux gens ce qu’ils portent. J’aime bien quand je croise une personne dans la rue deviner la senteur qu’elle laisse dans son sillage.

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GALA : Quelles sont vos fragrances fétiches ?

V. C. Dans mon jardin, quand j’étais petit, il y avait un citronnier et un figuier, et je me gavais de leurs fruits l’été. Ce sont donc des odeurs que j’apprécie tout particulièrement durant la saison estivale. L’hiver, je suis friand de bois, cèdre, vétiver… ou même carrément d’épices lorsque l’on se rapproche de Noël.

GALA : Une madeleine de Proust ?

V. C. : Je suis toujours très ému lorsque je sens des notes de cuir et de tabac. Je ne suis pas fumeur, mais ça me rappelle le salon de mes grands-parents, avec ses gros fauteuils en cuir et l’odeur des cigarettes que fumait mon papy.

GALA : Pour vous, quelle odeur caractérise le rugby ?

V. C. : Celle de l’huile camphrée, très utilisée notamment pour les massages d’avant-match et qui imprègne littéralement les vestiaires. Elle provoque tout un tas d’émotions, l’excitation et l’adrénaline des derniers instants avant d’entrer sur le terrain. Et l’herbe coupée aussi, qui me rappelle tous ces dimanches après-midi à jouer au rugby.

Propos recueillis par Yasmine Choukairy

Crédits photos : Daniel Hechter

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