La judokate Margaux Pinot accuse Alain Schmitt de violences conjugales, ils règlent leurs comptes dans les médias

Depuis la polémique, les deux judokas règlent leurs comptes sur les plateformes de différents médias. On fait le point sur leurs versions des faits. 

Il y a trois jours, la judokate Margaux Pinot a accusé son compagnon et entraîneur, Alain Schmitt, de violences conjugales. Photo à l’appui, elle a dénoncé ses gestes, mais également la décision du tribunal correctionnel de Bobigny qui a relaxé le judoka faute« de preuves de culpabilité ». En effet, sur les réseaux sociaux, Alain Schmitt a également partagé une photo de son visage tuméfié en assurant s’être seulement défendu. Depuis, les deux judokas règlent leur compte dans les médias. « J’ai été insultée, rouée de coups de poing, ma tête a été frappée au sol à plusieurs reprises. Et finalement étranglée », a expliqué la sportive au Parisien. Son compagnon, lui, a une version bien différente.

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Une publication partagée par Margaux PINOT (@margaux.pinot)

Étonnant que dans l’affaire d’agression opposant Margaux Pinot et Alain Schmitt, on entend parler de justice aveugle de la part de personnes réagissant à l’émotion et n’ayant vu qu’une de ces deux photos. pic.twitter.com/Un6VDnrTxt

« Elle s’est jetée sur moi, m’a agrippé par le col. J’ai reculé, elle m’a projeté dans le montant de la porte, je me suis cogné la tête. Je me relève un peu sonné. Elle m’a empoigné et c’est parti dans tous les sens. On s’est cogné dans les murs, dans un radiateur, une porte », a expliqué Alain Schmitt. « Il ment, il continue de me faire passer pour une femme hystérique », a elle regretté la judoka.

« Ça faisait plusieurs mois que je voulais arrêter cette relation », a expliqué Margaux Pinot. « J’attendais qu’il parte pour vraiment m’en séparer », a-t-elle ajouté. L’an passé, les violences conjugales ont augmenté de 10 % en France.

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