Alors que le film de Franck Dubosc consacré à la maladie de son défunt père sera diffusé prochainement, le comédien s’est livré avec émotion sur cette période compliquée dans des extraits de Sept à Huit diffusés en amont de l’émission dimanche 7 novembre.
En 2002, Franck Dubosc disait adieu à son père emporté par la terrible maladie de Charcot. Voulant lui rendre hommage et faire connaître davantage cette dégénérescence neuronale aux yeux du grand public, la tête d’affiche de Bienvenue à bord avait alors décidé de produire un film sur le sujet : La Dernière Partie. Avant la diffusion du long-métrage sur TF1 lundi 8 novembre, Franck Dubosc s’est prêté à l’exercice du “Portrait de la Semaine” dans le cadre de l’émission Sept à Huit diffusée le 7 novembre. Dans des extraits diffusés sur le compte Instagram d’Audrey Crespo-Mara, l’acteur s’est dévoilé “intime comme jamais” selon les dires de l’animatrice.
La gorge serrée par l’émotion, l’acteur a dépeint dans ce montage des moments de complicité avec Lucien, ce père à qui il n’a jamais réussi à dire“je t’aime”. Il a notamment évoqué l’admiration discrète, mais néanmoins présente de son père concernant sa carrière : “Il a vu l’Olympia, il n’a pas pu venir, il ne pouvait pas se déplacer, mais pour lui c’était la consécration.” Franck Dubosc s’était d’ailleurs souvenu avec une émotion palpable d’un tendre dessin qui lui avait été offert par son père affaibli par la maladie : “Il m’a remis un petit dessin que j’ai toujours sur moi dans mon agenda me représentant sur la scène de l’Olympia. C’est dessiné comme un enfant parce qu’il ne pouvait plus se servir correctement de ses mains…”
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Un comédien à fleur de peau ?
Face à ce témoignage plein de sincérité, les internautes n’ont pas hésité à montrer leur soutien à Franck Dubosc dans les commentaires du post Instagram : “C’est très beau ce que tu dis Franck sur ton père, vraiment.” L’acteur qualifié par sa compagne Danièle d’“hypersensible”, en 2018, n’a pas tenté de cacher ses larmes face à la caméra, prouvant une nouvelle fois qu’il n’était pas honteux d’exprimer ainsi ses sentiments.
Article écrit en collaboration avec 6Medias
Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE
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