Anne-Sophie Lapix pousse la chansonnette en direct dans le 20 heures de France 2

Jeudi 21 octobre 2021, Anne-Sophie Lapix a créé la surprise en chantant pour annoncer un sujet sur la célébration des cent ans de Georges Brassens. Une séquence qui a beaucoup amusé les téléspectateurs…

Une séquence à laquelle personne ne s’attendait ! Depuis quatre ans, Anne-Sophie Lapix est à la tête du journal de 20 heures de France 2. Si les téléspectateurs apprécient sa bonne humeur, elle leur a réservé une belle surprise en poussant la chansonnette. Face caméra, la journaliste a entonné : ‘Elle est à toi, cette chanson. Toi, l’Auvergnat qui, sans façon.’ Le sourire aux lèvres, la jolie blonde a ajouté avant de lancer son sujet : "Vous avez reconnu ce tube du chanteur et poète Georges Brassens. Il aurait eu 100 ans demain !" Né le 22 octobre 1921, le chanteur est malheureusement décédé à l’âge de 60 ans le 29 octobre 1981, des suites d’un cancer de l’intestin généralisé.

Alors que l’artiste est resté dans le coeur des Français, ils ont été nombreux à saluer l’hommage que lui a rendu Anne-Sophie Lapix dans son journal. Sur Twitter, on peut ainsi lire : "Très original ce petit passage musical, merci Anne-Sophie !" ; "Anne-Sophie Lapix qui entonne l’auvergnat au JT. Surprenant, mais sympathique finalement" ; "C’est pour quand The Voice ?" ; "Très belle voix ! Parole d’Auvergnat !" ; mais aussi : "Bravo pour l’introduction en chanson !" De son côté, Louis Giscard d’Estaing, le fils de l’ancien président de la République Valéry Giscard d’Estaing, a partagé : "Quel bel hommage d’Anne-Sophie Lapix à Brassens, auquel, comme tous les Auvergnats, je suis particulièrement sensible !"

Anne-Sophie Lapix n’a pas que des fans

En juillet dernier, alors que certains lui reprochaient d’avoir un sourire narquois lors de ses interviews, c’est dans un entretien accordé à Satellifax que la journaliste avait expliqué : "Tout sourire dans une interview politique peut être interprété comme de la moquerie, un manque de respect." Enfin, elle avait développé : "Sourire, cela fait partie de mon éducation, c’est une politesse.(…) Pour l’interview du président de la République avec Gilles Bouleau cet automne, je me forçais à ne pas sourire, à prendre une tête de mater dolorosa. De même, je prends soin désormais de retirer toute ironie dans mes questions."

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