Jean-Jacques Goldman en deuil : son rituel déchirant après la mort de Sirima

Dans un nouveau livre, paru ce jeudi 7 octobre, Fabien Lecoeuvre revient sur le décès de la chanteuse Sirima, qui a rencontré le succès grâce à Jean-Jacques Goldman. Il dévoile notamment l’hommage que ce dernier lui avait rendu après sa mort.

Après la polémique suscitée par ses propos concernant le physique de la chanteuse Hoshi, Fabien Lecoeuvre est de retour, avec un nouveau livre. Dans cet ouvrage intitulé La véritable histoire des chansons de Jean-Jacques Goldman, publié ce jeudi 7 octobre, l’ancien chroniqueur de Cyril Hanouna et d’Europe 1 évoque la carrière du célèbre et discret auteur-compositeur de 69 ans. Au fil des pages, il revient sur son succès, notamment à la fin des années 1980, grâce à son titre Là-bas, qu’il interprétait avec la chanteuse Sirima. Une jeune femme dont la vie avait été ôtée par son mari, en 1989.

Pour rappel, jaloux de son succès et horrifié à l’idée que la mère de son fils puisse lui être infidèle, le musicien Kahatra Sasorith l’avait tuée un 7 décembre, à coups de couteau de cuisine. Il avait été condamné à neuf ans de prison et expulsé du territoire français. Ce drame a profondément marqué Jean-Jacques Goldman, qui avait contribué à l’ascension professionnelle de cette Britannique de seulement 25 ans. Pas du genre à étaler ses sentiments, le chanteur avait préféré lui rendre hommage en musique, ce qu’il sait faire de mieux… Il avait alors interprété la chanson Là-bas « seul sur scène devant son piano, à la lueur d’une petite bougie scintillante, dans une ambiance très spirituelle », comme l’a expliqué Fabien Lecoeuvre par écrit.

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Un féminicide traduit par un pesant silence

Dans un extrait d’un documentaire qui sera diffusé sur CStar le 11 octobre prochain, à l’occasion du 70e anniversaire de Jean-Jacques Goldman et qui a été dévoilé par Télé-Loisirs, Nelson Monfort s’exprimait sur ce rituel. « Quand Sirima est tragiquement décédée, lui chantait seul et il n’y avait pas de dialogues, si je puis dire, avec elle », lance-t-il face caméra, en soulignant l’aspect d’autant plus symbolique de cet hommage : « Le fait qu’on n’entendait pas Sirima, ça renforçait son souvenir et sa mémoire… »

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : Agence / Bestimage

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