Heureux papa d’un petit Valentin depuis novembre 2019, Christophe Beaugrand a dû traverser beaucoup d’étape difficiles, et surtout dépenser beaucoup d’argent pour une mère porteuse aux USA.
Christophe Beaugrand et son mari Ghislain Gerin ont vécu les montagnes russes pendant plusieurs mois. Devenus papas d’un petit garçon en novembre 2019, le chemin n’a pas vraiment été un long fleuve tranquille. Marqué par cette longue période de doutes, de joie, de tristesse, de désillusion mais aussi d’espoir, l’animateur de TF1 a voulu en faire un livre, « Fils à Papa (a), L’incroyable histoire de deux garçons qui voulaient devenir pères ».
Invités sur le plateau de Quotidien ce mercredi 6 octobre, les deux papas ont souhaité raconter leur parcours face aux caméras. Celui de faire appel à une agence de mères porteuse aux USA. Et s’ils ont finalement trouvé la maman idéale grâce à cette agence, Christophe Beaugrand et son mari depuis 2018 ont dû en payer le prix « Il y a un échange d’argent, c’est grosso modo entre 20 et 40.000 dollars. Nous, c’était 30.000 dollars. Ce sont les agences qui mettent en place, on ne discute jamais d’argent, en fait.« , soit environ 27000 euros.
Mais pour Ghislain Gerin, ce recours à une mère porteuse, et cet argent donné sont très loin d’une potentielle « exploitation marchande du corps des femmes », c’est avant tout un dédommagement, et non une rémunération selon lui : « Aujourd’hui, on ne va pas se mentir, une grossesse, pour n’importe quelle femme, ça a un coût. Que ce soit pour l’alimentation, les vêtements, les soins médicaux…« . En accord avec les propos de son mari, Christophe Beaugrand a alors précisé la façon de procéder « Il y a un échange d’argent, ça c’est sûr, mais ce qu’il faut savoir, c’est qu’aux États-Unis, les mères porteuses sont sélectionnées sur leurs revenus« .
Qui est la mère porteuse ?
Voilà une question que l’animateur de TF1 défend toujours corps et âme pour prouver à ceux qui critiquent leur démarche, qu’elle est tout à fait saine, « Sur Internet, je lis parfois des messages disant ‘Vous avez utilisé une femme dans la misère…‘ C’est faux, ce ne sont pas des riches bobos parisiens qui viennent prendre le ventre d’une femme qui n’a pas d’argent, ce n’est pas vrai. Whitney est propriétaire d’une maison, avec un jardin, avec ses trois enfants… »
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