Si Claude Lelouch est l’un des plus grands réalisateurs français, Gilles et Philippe Lellouche sont surtout reconnus en tant que comédiens. Certes ils portent presque le même nom, mais pour autant sont-ils de la même famille ?
Un Lellouche peut en cacher un autre. Si Claude Lelouch est l’un des plus grands réalisateurs français, il est aussi connu pour être le doyen d’une grande famille. Époux de Marie-Sophie Lelouch et père de la comédienne Salomé Lelouch ou encore de Sarah Lelouch, le réalisateur inoubliable du film Un homme et une femme n’a en revanche rien à voir avec les deux acteurs Gilles et Philippe Lellouche, dont le patronyme ne s’écrit pas de la même façon.
Reste alors à savoir, si les deux acteurs eux sont de la même famille ? Car si Gilles Lellouche âgé de 42 ans a su très tôt qu’il souhait être comédien, de son côté Phillipe Lellouche a commencé sa carrière une plume à la main et rien ne le destinait à passer devant la caméra.
Reporter et journaliste d’investigation pour TF1 puis pour Envoyé Spécial, Philippe Lellouche voit sa vie basculée en 1997 lorsqu’il est repéré pour tourner dans Une femme d’honneur. Philippe enchaîne alors avec quelques rôles et face à ses hésitations, sa famille et ses proches l’encouragent. A commencer par son frère cadet Gilles Lellouche, réalisateur de clips pour Pascal Obispo qui décrochera son premier rôle à la télé en 1996 dans Les soeurs Hamlet. D’ailleurs en 2004, les deux frères seront réunis sur le film Narco, le premier long métrage de Gilles Lellouche.
Depuis les années 2000 tout semble réussir à ces deux frères. Acteur et réalisateur, le mari de Vanessa Demouy nouvellement au casting de la série Clem, va également faire ses débuts en tant qu’animateur et présenter la version française de l’émission automobile Top Gear sur la chaîne RMC Découverte.
Deux frères au charme fou qui finalement restent très discrets, excepté lorsque Gilles s’autorise une petite confidence comme le rapporte le site Pure Trend : "Je faisais tout en douce ! J’ai fait vivre un enfer à mon grand-frère. On a six ans de différence, il était tout pour moi un terrain d’expérimentation fantastique, je ne le lâchais pas. J’étais tout le temps collé à ses basques".
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