Sophie Marceau n’apprécie plus de parler de sa vie privée. Au cours d’un entretien avec le « Figaro » ce jeudi 2 septembre, la comédienne de 54 ans l’a bien fait comprendre face au journaliste qui la questionnait.
La question de trop ? Le 22 septembre prochain, Sophie Marceau fera son retour sur grand écran dans Tout s’est bien passé. Un film signé François Ozon dans lequel elle interprète le rôle de l’auteure Emmanuelle Bernheim qui accompagne son père en fin de vie, incarné par André Dussollier. Un sujet lourd sur lequel a rebondi un journaliste du Figaro, ce jeudi 2 septembre, qui tentait d’évoquer les parents de la comédienne, en qualifiant notamment son père « d’un peu indéchiffrable » et « un peu perdu » lors d’un entretien. En quelques mots, l’actrice n’a pas mâché ses mots pour faire comprendre que la question l’agaçait.
Sophie Marceau, dont la mère est décédée en décembre 2016 et le père en octobre 2020, commence d’abord par en dire plus sur ceux-ci. « Vous savez, on ne comprend jamais tout de ses parents, même à l’âge que j’ai. Il est impossible de dire des choses définitives », explique-t-elle. Avant de lancer brutalement : « On n’est jamais dans l’intimité ou le for intérieur des autres, même si je suis très curieuse de la nature des gens et que j’ai toujours envie de comprendre les mécaniques humaines. Mais je ne vous parlerai pas de ma famille. Je ne vous parlerai de rien de personnel. »
« Je n’ai plus envie que tout soit interprété ou ramené à des choses privées »
Sophie Marceau se sait aujourd’hui plus renfermée. La faute surtout aux paparazzis qui la traquent régulièrement. « Vous donnez ça, puis après on vous prend ça, donc je deviens un peu méfiante. Je n’ai plus envie que tout soit interprété ou ramené à des choses privées », a ajouté l’actrice au journaliste du Figaro. Elle exprime par ailleurs une certaine lassitude de devoir répondre à des questions sur sa vie privée ou même sur la politique, et ne comprend pas non plus pourquoi il en est ainsi. Sophie Marceau, qui ne veut pas être prise en exemple, ajoute qu’il s’agit d’une responsabilité dont elle ne veut pas et qu’elle souhaite restée centrée sur sa carrière. « Je ne suis pas supposée être ailleurs que sur un écran. S’il s’agit de célébrer le cinéma, je suis très heureuse de prendre part à la conversation. » C’est dit.
Article écrit en collaboration avec 6Medias.
Crédits photos : DOMINIQUE JACOVIDES / BESTIMAGE
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