Cédric Jubillar : son avocat fait une révélation fracassante sur un élément de l’enquête

Plusieurs mois après la mise en examen de Cedric Jubillar, Me Jean-Baptiste Alary, son avocat, a révélé de nouvelles informations qui pourrait peser en faveur du suspect.

Qu’est-il arrivé à Delphine Jubillar ? C’est une question qui reste sans réponse depuis la nuit du 15 au 16 décembre 2020. Depuis plus de 8 mois, l’enquête concernant la disparition de la jeune femme connaît, chaque semaine, de nouveaux rebondissements. Mis en examen pour « homicide volontaire par conjoint » depuis juin dernier, Cedric Jubillar, l’époux de la victime, ne cesse de clamer son innocence. Parmi les éléments précédemment présentés contre lui figure le lancement d’une machine vers 5 heures du matin, pour laver une couette seulement quelques heures après la disparition de Delphine. Un fait réfuté par Me Jean-Baptiste Alary, l’avocat du suspect.

Interviewé par nos confrères de Femme Actuelle ce mercredi 1er septembre, le pénaliste a déclaré : « On le sait aujourd’hui, je vous l’affirme : la couette ne se trouvait pas dans la machine à laver à l’arrivée des gendarmes. Cette histoire est ahurissante ». Une information dont il a pris connaissance il y a plusieurs semaines. « Lorsque nous avons fait appel à la détention provisoire de Cédric Jubillar, nous nous sommes retrouvés devant la chambre de l’instruction qui a rendu un arrêt dans lequel il était écrit noir sur blanc : la couette n’est pas dans la machine à ce moment-là« , a-t-il précisé.

Affaire Jubillar : cette piste écartée par les gendarmes

Si l’homme qui s’accusait de la mort de Delphine Jubillar a finalement fait machine arrière, une autre piste a été écartée par les gendarmes : celle d’une voiture roulant à vive allure le soir de la disparition de la jeune femme. Un élément que les enquêteurs ne pourront malheureusement pas étudier. « Aujourd’hui, huit mois après les faits, il est clair que c’est foutu« , a confié Me Jean-Baptiste Alary. La raison ? « La voiture roule beaucoup trop vite », a-t-il indiqué. Les images récoltées par les caméras de surveillance n’ont pas permis de relever la plaque d’immatriculation. Un nouveau fait qui risque de retarder le dénouement de l’affaire.

Crédits photos : Capture d’écran Facebook

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