Le 27 novembre 2019, Aurélie Dotremont a publié son premier livre intitulé « Tu seras dans une vitrine » et à travers lequel elle fait des révélations choquantes sur son enfance. Dans un extrait dévoilé par « Télé Star », elle explique d’ailleurs ce qui se cache derrière le titre de l’ouvrage.
En seulement quarante-huit heures, Aurélie Dotremont s’est hissée à la première place des ventes de livres. Mercredi 27 novembre 2019, la sulfureuse blonde du petit écran a annoncé la sortie de son autobiographie, Tu finiras dans une vitrine. Un ouvrage dans lequel elle livre ses secrets les plus sombres. Elle a par exemple évoqué l’infanticide de cette soeur aînée, drame horrible dont elle ne s’est jamais complètement remise.
Mais avant de plonger dans cette descente aux enfers qui a vu Aurélie Dotremont s’abîmer par diverses addictions, une petite explication concernant l’intitulé de son livre s’impose. Il faut dire que la phrase Tu finiras dans une vitrine est assez mystérieuse. Nos confrères de Télé Star ont pu mettre la main sur l’extrait dans lequel la candidate de télé-réalité révèle ce qui se cache derrière. Et il s’avère que cette phrase a été prononcée plusieurs fois par son père lorsqu’elle était plus jeune, et ce n’était pas un compliment. « Cette remarque fait allusion aux prostituées qui s’exhibent dans les vitrines d’Amsterdam. Qu’est-ce qu’un papa qui dit une telle chose à sa fille ? Qu’est qu’une gamine qui entend une telle chose de son père ? » déplore Aurélie Dotremont. Naturellement, cette remarque touche en plein coeur l’ex de Julien Bert qui est alors « terriblement mal« .
Avec ce livre, Aurélie Dotremont a pris tout le monde de court. Déjà bestseller, nul doute que l’ouvrage fera encore parler de lui avec d’autres révélations, notamment autour de la télé-réalité. Ces dernières années, elle a multiplié les contrats, se créant au passage une sacrée réputation. Récemment, Nathanya balançait d’ailleurs à son sujet : « Elle n’était pas dans son état normal durant les tournages« , sous entendant qu’elle se droguait et était même « bipolaire« . « Elle m’insultait de tous les noms, 10 minutes après, elle revenait me voir en pleurant pour s’excuser.«
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