Jean Castex, un premier minstre coquin ? Il reçoit des stocks de culottes pendant ce 3ème confinement !

Jugés non essentiels pendant l’actuelle crise du Covid-19, certains commerces se rebiffent et font preuve d’humour ! C’est le cas des magasins de sous-vêtements, qui ont trouvé comment attirer l’attention du premier ministre, sur leur sort…

Depuis le samedi 3 avril 2021, un troisième confinement a été étendu à l’ensemble du territoire métropolitain, et seuls les commerces jugés essentiels sont restés ouverts. Si à l’époque, le ministre délégué aux PME, Alain Griset, avait assuré que la liste des commerces autorisés pourrait évoluer, dans le cas où il y aurait une « aberration« , une branche en particulier a décidé de passer à l’action, pour qu’on les autorise à ouvrir.

Culottes, strings et autres tangas

Il s’agit des boutiques de lingeries, toujours closes jusqu’à nouvel ordre. Pour encourager le premier ministre, Jean Castex, à décider de leur réouverture, les commerçants ont eu l’idée de lui envoyer des plis originaux à son adresse postale. Voilà comment le chef du gouvernement s’est rapidement retrouvé avec des stocks de culottes, strings et autres tangas à Matignon, comme le serait une rockstar du niveau de Mick Jagger !

Sur Facebook, celle qui a lancé le mouvement, Nathalie Paredes, l’a d’ailleurs baptisé « Action culottée« . Elle-même gérante d’une boutique de lingerie à Lyon, elle veut ainsi attirer l’attention sur la « détresse, le désarroi et l’incompréhension » des gens dans sa situation. Elle compte d’ailleurs « des centaines de boutiques de sous-vêtements à travers toute la France » qui serait dans la tourmente.

« N’est-ce pas la première chose que nous enfilons le matin ? »

Dans son courrier, qui sera donc envoyé plusieurs fois à Jean Castex avec les sous-vêtements assortis, la chef de file questionne la cohérence de la décision de fermer les magasins de slip, tandis que les grandes surfaces continuent de les vendre. Et de demander : « N’est-ce pas une question d’hygiène et de protection ? N’est-ce pas la première chose que nous enfilons le matin pour nous habiller, même vous, Monsieur le Premier Ministre ?« 

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