Sur le plateau des Z’amours, lundi 19 avril, Bruno Guillon est sorti de sa réserve habituelle pour évoquer un trouble qui touche un membre de sa famille. Le cas d’une candidate dyslexique l’a en effet touché de plein fouet.
Bruno Guillon
Bruno Guillon n’est pas du genre à s’épancher sur sa vie de famille. Parler de ses problèmes de couple en public, très peu pour lui, l’animateur de France 2 préférant écouter ceux des autres sur le plateau des Z’amours. Et alors que la fin du divertissement culte s’approche après vingt-six ans d’antenne, le successeur de Tex profite des dernières émissions pour terminer en beauté cette aventure. Plutôt discret jusqu’à l’annonce de cette nouvelle, qui a miné le moral des fidèles téléspectateurs du programme, il a récemment publié un cliché de toute l’équipe sur son compte Instagram, en guise d’adieu. « Nous partons fiers et heureux du travail accompli. A titre personnel, j’ai eu la chance de travailler avec des femmes et des hommes exceptionnels, tous me manquent déjà« , a-t-il écrit au sujet d’une famille qui se décomposera le 2 juillet prochain.
« La dyslexie, c’est un peu compliqué… »
En attendant de rebondir ailleurs –son nom a été cité pour remplacer Nagui dans Tout le monde veut prendre sa place– il retrouvera son clan, et notamment son fils Anatole. Un jeune homme de 12 ans atteint d’un trouble du langage particulier et dont Bruno Guillon a fait mention en direct, ce lundi 19 avril 2021. C’est en découvrant la dyslexie d’une candidate que celui qui a débuté à la radio a révélé l’existence du même handicap chez Anatole. « Mon fils est touché par ça, il faut vraiment se concentrer. La dyslexie, c’est un peu compliqué…”, a-t-il confié, concerné par ce trouble qui touche 8 à 10% des enfants scolarisés en France. Et d’ajouter : “C’est bien qu’on en parle de plus en plus, et surtout qu’on sache aujourd’hui traiter le problème, notamment pour les enfants parce que ça peut être un peu excluant quand ils sont plus petits ». Histoire de conclure cette rare confession sur une note d’optimisme, il a précisé que de grands dyslexiques s’en étaient plutôt bien sortis dans la vie. Justin Timberlake, par exemple !
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