Au lendemain de son interview choc chez Oprah Winfrey, Meghan Markle a déjà obtenu gain de cause. Elizabeth II vient de nommer un "tsar de la diversité" à Buckingham Palace. Les lignes bougent.
Elle serait « peinée » mais pas « énervée » contre le prince Harry, au lendemain de l’interview que son petit fils a accordé à Oprah Winfrey. La reine Elizabeth II qui a déclaré le 9 mars dernier qu’elle prenait « très au sérieux » les accusations de racisme, qui sont « préoccupantes », a promis de régler le problème en interne. C’est ce qu’elle a déjà commencé à faire.
Un « tsar de la diversité » engagé
C’est ainsi qu’on apprend ce 21 mars dans le Mail on Sunday que la reine nommera bientôt un « tsar de la diversité« , comme le rapporte une source proche du palais. La Couronne a bien l’intention « d’écouter et d’apprendre » et « recherchera des opinions indépendantes » sur la façon dont elle peut améliorer ses efforts de diversité pour englober les minorités et la communauté LGBT.
Souvenez-vous, le 7 mars dernier, Meghan Markle avait révélé que durant sa première grossesse, elle avait eu vent de discussions au sein de la famille royale portant sur la couleur de peau de son premier enfant, Archie. Depuis, « c’est un problème qui a été pris très au sérieux dans tous les foyers« , aurait déclaré dimanche une source du palais au Mail.
Un effort qui sera collectif, à en croire cette source, qui assure : « Nous avons les politiques, les procédures et les programmes en place, mais nous n’en avons pas encore vu les progrès. Nous pouvons toujours nous améliorer. Nous n’avons pas peur de chercher de nouvelles façons de faire. Le travail dans ce sens est en cours depuis un certain temps maintenant et s’accompagne du soutien total de la famille« .
« Nous ne sommes vraiment pas une famille raciste »
Des déclarations qui interviennent alors que l’institution fait face à une crise majeure. Les déclarations de Meghan et Harry, sur CBS, ont déjà eu de gros dégâts, puisque des pays membres du Commonwealth ont annoncé leur intention d’abandonner la reine Elizabeth II en tant que chef d’État. De son côté, le prince William, 2ème dans l’ordre de succession, a affirmé la semaine dernière aux journalistes « nous ne sommes vraiment pas une famille raciste ».
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